Léonard de Vinci

Anuncio
1
Historia
Es una región muy vinculada a la monarquía
francesa, desde que en 1418 la familia real se
instaló en la Touraine. Los castillos de Amboise y
de Blois fueron residencias de Carlos VII, Luis
XII y Francisco I. Éste último encomendó a
Leonardo da Vinci la construcción del castillo de
Chambord. Numerosos nobles decidieron también
trasladarse allí, por lo que se construyeron
numerosos castillos cerca de los ríos Loira, Cher e
Indre. Destacan los de Chenonceau y Azay-le-Rideau.
Demografía
Es la decimotercera región más poblada de Francia. Las tres principales áreas urbanas
(Tours, Orléans y Bourges) concentran un tercio de la población regional,
mayoritariamente rural. En 1999, Tours era la vigésima área urbana más poblada de
Francia con 376.377 habitantes y un crecimiento del 0,69% durante el periodo 19901999. Actualmente el área más próxima a la región metropolitana de París experimenta
un fuerte crecimiento debido a esta proximidad.
Economía
Es la primera región de la Unión Europea productora de cereales. También tienen gran
importancia los cultivos de remolacha azucarera, colza y girasol.
Región de gran tradición agrícola, la descentralización industrial de los años 1950 hizo
surgir sectores industriales modernos, como el sector farmacéutico.
Actualmente, es la segunda región francesa en producción de energía, debido a las
cuatro centrales nucleares situadas en la orilla del río Loira.
Asimismo, en Orléans destaca el sector de la banca, el de los seguros, y el de la
investigación científica. En Tours predominan la sanidad y la educación universitaria.
2
Tours se halla situada a una hora de París, a cinco de Londres y a tres
horas y media de Bruselas.
Clasificada como ciudad de arte y de historia, Tours es una ciudad de
dimensión humana que se puede recorrer a pie y disfrutar del encanto de
sus calles antiguas, sus museos, sus tiendas y sus mercados. Tours es una
ciudad segura, dinámica que atrae a más de 30 000 estudiantes.
En la región, donde se habla “el mejor francés” del país, vivieron
escritores como Rabelais, Ronsard, Balzac y Bergoson.
3
L'orientation au Lycée Grandmont
Dans un parc de 13 hectares
En 1176, le roi Henri II
Plantagenet fit don du "Bois Rahier"
situé au sud de Tours aux moines
de l'ordre de Grandmont qui y
demeurèrent jusqu'en 1774 et laissèrent
leur nom au Parc.
1959 Ouverture de la cité
1961 Destruction du château
1963 Le lycée devient autonome
1977 Cité scolaire scindée en trois établissement
Lycée Grandmont (général et technologique), Collèg
Jean-Philippe Rameau, Lycée professionnel Victor Lal
1998 Fin de la cité scolaire Grandmont.
Les trois établissements deviennent
autonomes.
9 sections post-bac
24 classes de terminale
25 classes de première
20 classes de seconde
2300 élèves
4
5
Esta región se conoce como la de los
Castillos del Loira, debido al gran
número de castillos que duermen en sus
orillas.
6
Azay-le-Rideau
Cheverny
Moncontour
Chaumont
Chambord
Blois
Chenonceau
Saumur
7
Ville d’Indre et Loire, Amboise est édifiée
au confluent de la Loire et de la Masse, à
24 km à l’Est de Tours. En 2000, Amboise
compte 11 968 habitants qu'on appelle des
Amboisiens.
Son château résulte de la reconstruction
fastueuse par Charles VIII d’une
forteresse antérieure (médiévale) qui
s’élève sur un escarpement propice à la
défense.
Des origines à la Renaissance
Les origines du château remontent au VIIIème siècle. Dès l’époque gallo-romaine, Amboise fut
un site défensif. Au début du Moyen-age, un pont sur la Loire est construit et permet de
renforcer les défenses stratégiques de la ville.
Avant d'être rattaché à la couronne, le Château d'AMBOISE appartenait à la famille
d'AMBOISE. Louis d'Amboise fut en effet condamné à mort par le Roi Charles VII le 8 mai
1431 pour avoir essayé de l'enlever en compagnie de son favori Georges de La Trémoille au
château de Chinon. Le château et la seigneurie d'AMBOISE ainsi que le château de
Montrichard lui furent confisqués et rattachés à la couronne par lettres patentes le 4
septembre 1434. Au milieu du XVème siècle, le roi Charles VII reprit la ville à ses
envahisseurs. Louis XI, son successeur, commença les travaux de reconstruction du château.
8
Ce fut Charles VIII qui décida de reconstruire la forteresse. Il ramena alors d’Italie un
certain nombre de meubles et fit appel à Pacello de Mercogliano – horticulteur italien – afin
d’aménager les jardins de la demeure royale. En 1495, il demande l’aide à deux maîtres
maçons, Dominique de Cortone et Fra Giocondo pour donner une allure royale à cette
demeure: le style Renaissance.
À la demande du roi, le bailli d'Amboise - Raymond de Dezest - et les architectes - Colin
Biart, Guillaume Senault et Louis Armangeart - vont faire renaître le château à l'aide de pas
moins de 250 maçons. A force de travail acharné, le château sera composé de plusieurs
nouveaux bâtiments : l’aile du logis du Roy, la grosse tour des Minimes avec sa large rampe
hélicoïdale, la tour Hurtault (ou tour de César) et la chapelle Saint-Hubert en gothique
flamboyant. En l’espace de six années – de 1492 à 1498 - le château devint magnifique. Dès
lors, le château fut composé de deux logis : l'un face à la Loire, orienté au nord ; l'autre
orienté vers l'Amasse. (Seul le premier subsiste aujourd'hui.).
Charles VIII y décède accidentellement en 1498. Louis XII lui succédant, les travaux
continuèrent toujours avec la même ardeur. François 1er passe sa jeunesse, ainsi que les
premières années de son règne, au château d’Amboise. Le jeune monarque invita - en 1516 le plus grand des génies de l’époque, Léonard de Vinci, à résider à Amboise, au Manoir du
Clos-Lucé. Ce sera une période fastueuse pour la ville. Louise de Savoie, mère du nouveau roi,
vivra dès lors, au château. En mars 1560, le comte de Guise découvrit un coup d’État
protestant monté par les Calvinistes : c'est la conjuration d'Amboise. Le 12 mars 1563,
Condé signa avec la Reine Catherine de Médicis la paix ou traité d’Amboise. L’édit de
pacification autorise le culte protestant aux seigneurs et justiciers. Les autres réformés,
peuvent dans une ville par bailliage ou sénéchaussée, fréquenter le temple à condition que
celui-ci soit situé hors des murs.
L’époque moderne
Au début du XVIIème siècle, le château
devient la propriété de Gaston d’Orléans, frère de
Louis XIII. C’est alors que le château royal perd de sa noblesse en devenant une prison. Louis
XIV, son successeur, en fera d’ailleurs usage en y détenant prisonnier Nicolas Fouquet et le Duc
de Lauzun.
En 1762, Louis XVI fit don du château au Duc de Choiseul. Peu de temps après, ce dernier se
trouva en disgrâce. En effet, ministre de Louis XV, il fut remercié en 1770. Exilé à Amboise, il
en profita pour faire édifier, entre 1775 et 1778 – dans le parc même du château de Choiseul un monument haut de 40 mètres, la Pagode de Chanteloup. Dès lors, la Cour se précipite à la
Pagode. Napoléon donne le château à l'ex-consul Pierre-Roger Ducos. Son nouveau propriétaire
n'ayant pas les moyens financiers de l'entretenir en totalité, il en fit détruire - entre 1806 et
1810 - les deux tiers. L'église, la Collégiale Saint Florentin, les Logis des Reines et au-delà
disparaissent.
9
En 1815, le château change de propriétaire. C’est à Louise Marie Adélaïde de BourbonPenthièvre, Duchesse d’Orléans, qu’on le restitue. A sa mort, en 1821, son fils, le futur LouisPhilippe en hérite. En 1848, l’État reprit possession du château et en fit à nouveau une prison
d’État. De 1848 à 1852, Abd El Kader y est emprisonné. En 1873, le château est à nouveau
restitué à la famille Orléans qui le transforma en maison d’accueil pour les personnes âgées. Puis,
au début du XXème siècle, Monsieur Ruprich-Robert et son fils, restaurèrent avec beaucoup de
soin, le château.
De nos jours, le château a toujours la même allure qu'il avait au XVème et XVIème siècle, du
côté de la Loire. À l'intérieure, un grand nombre de bâtiments n'existent plus. Il ne reste
environ qu’un cinquième de ce qu’était la forteresse au temps de sa splendeur. Nous pouvons
admirer la Chapelle Saint-Hubert (où repose Léonard de Vinci), la tour Hurtault et la tour des
Minimes, le logis du Roy et les salles du rez-de-chaussée du logis des Reines.
Léonard de Vinci
1452 - 1519
Léonard de Vinci, un des grands hommes de la Renaissance, peintre, ingénieur, architecte,
dessina des monuments, des machines qui ne furent réalisées que dans les siècles futurs.
Léonard de Vinci a observé la nature en peintre et en scientifique. Léonard de Vinci a compris,
ou cherché à comprendre tous les phénomènes qui l'entouraient. Il a imaginé des inventions
telles que le parachute,le char d'assaut, l'appareil photo, le bateau à aubes, les machines
volantes, l'hélicoptère, bien des siècles avant leur existence.
Amboise : le Château Royal
Le Roi François 1er, pendant les guerres d’Italie (1515) a été séduit par l’art italien, la
sculpture, la peinture, l’architecture, l’art des jardins ...: «La Renaissance». François 1er pour
introduire ce nouvel art dans son royaume, invite le plus grand artiste de son temps à le
rejoindre en France et lui confère le titre de «premier peintre, ingénieur et architecte du
roi». En 1517 Léonard de Vinci, à 65 ans, accepte l'invitation de François 1er. Le Roi lui offre le
Manoir du Cloux (Le Clos Lucé). Là, il avait, dans sa jeunesse, joué au ballon, à l'arc et aux jeux
guerriers avec ses amis. La seule contrepartie demandée à Léonard de Vinci, par le Roi est de
pouvoir philosopher, converser avec l'artiste, qu'il viendra voir tous les jours souvent
secrètement, empruntant un sous terrain reliant me Château Royal d'Amboise et le Château du
Clos Lucé. le manoir du Clos Lucé: découvrez les maquettes des merveilleuses machines
imaginée par Léonard de Vinci, ce génie qui vécut cinq siècles auparavant.
10
Découvrez la collégiale des Roches Tranchelion et de traverser la pittoresque vallée de la
Manse, ainsi que celles de la Vienne et de l'Indre. Les villages d'Azay le Rideau, Richelieu,
Candes St Martin, St Epain et Avon les Roches méritent aussi le détour.
Chinon offre à ses visiteurs un site
incomparable, avec ses forteresse médiévale.
Ses promenades ombragées, ses venelles, sa
rivière et la forêt sont des atouts appréciées.
Chinon, riche de son histoire, de sa culture, de
ses édifices... a bien mérité son label Ville d’Art
et d’Histoire, du même que son inscription au
patrimoine mondiale de l’UNESCO.
Ancien lieu où se dressait une forteresse, le village conserve son château, ses logis, ses
jardins, et deux lavoirs bordant la Manse qui serpente sous les peupliers. Situé au coeur
de la Touraine, dans la pittoresque vallée de la Manse, le village est plein de charme. Les
maisons sont magnifiques, notamment celles de la place des XVe et XVIe siècles. Construites
en tuffeau, cette belle pierre blanche de Touraine, elles ont conservé des fenêtres à meneaux
et de beaux toits d'ardoises agrémentés de lucarnes ouvragées. On peut ensuite, en passant
sous la poterne, grimper jusqu'aux ruines du château du XVe siècle. A droite, l'église date de
1527. Crissay saura vous séduire avec le charmant désordre de ses rues, ses jardins, ses petits
murs fleuris. C'est un adorable village campagnard qui a su garder toute son authenticité.
11
Candes St Martin : blanches du tuffeau de
Touraine, la collégiale et les maisons du village,
bâties à flanc de coteau, se mirent dans les eaux
de la Vienne et de la Loire. Le village est d'une
homogénéité rare, ses maisons sont superbes,
certaines datant du XVe siècle. Construites en
tuffeau blanc, leur décoration semble inspirée par
les châteaux des alentours, leur empruntant mille
détails. Avant de remonter jusqu'en haut du
village pour découvrir les habitations troglodytes creusées dans la falaise, il faut s'attarder
rue du Bas, c'est là qu'habitaient les mariniers de la Loire, lorsque Candes était un port de
pêche et de batellerie actif, également admirer l'église collégiale des XIIe et XIIIe siècles.
Les rois de France et d'Angleterre y séjournèrent, rendant à cette occasion visite aux
archevêques de Tours. Enfin, les adeptes de la marche pourront gravir le petit sentier de
pierres de la colline surplombant le village : la vue sur les toits d'ardoise et sur les deux
rivières y est très représentative du charme de la Douce France.
Loches constitua durant tout le Moyen Age une
place stratégique de premier ordre. Sise aux
confins du Poitou, de la Touraine et du Berry,
plantée sur un long éperon rocheux, elle attira
d’abord la convoitise des ducs d’Aquitaine, des
comtes de Blois-Chartres et de ceux d’Anjou. Elle
fut ensuite l’enjeu d’une âpre lutte entre
Capétiens et Plantagenêts, servit longtemps de
résidence au « Roi de Bourges » (le futur Charles
VII) et ses murs abritèrent les jeunes années de
la vie de Louis XI.
Cité Médiévale d'exception, offre un panorama historique grandeur nature, du Moyen-Age à la
Renaissance. La visite chemine à travers les portes et les ruelles de la ville basse pour
atteindre le promontoire fortifié de la Cité Royale : Tour Saint-Antoine, Porte des Cordeliers
et Porte Picois, Hôtel de Ville, Chancellerie, Maison du Centaure, Collégiale Saint-Ours, Donjon,
Logis Royal, Fort Saint-Ours...
12
LES SITES HISTORIQUES
Cette plate forme, parfaitement conservée, est entourée d’une triple ceinture de remparts
enserrant le donjon, le logis royal, la Collégiale Saint Ours et la Maison Lansyer.
La Porte Royale
Unique issue permettant l’accès à la citadelle, cette porte date des 12 ème et 13 ème siècles.
Elle fut complétée au 15 ème siècle par un corps de bâtiment central et une terrasse à canons.
La Collégiale Saint Ours
Edifiée au 11 ème et 12 ème siècles, c’est selon Viollet le Duc « un édifice étrange et sauvage
beauté, unique dans le monde ». Son architecture romane est marquée par son exceptionnel
portail polychrome sculpté de personnages et d’animaux tirés du bestiaire du Moyen Age et par
les deux pyramides de pierre, appelées « dubes », élevées vers 1165.
Le Logis Royal
Bâti sur la pointe de l’éperon rocheux dominant la vallée de l’Indre, le Logis Royal est l’une des
résidences favorites des Valois, pendant la guerre de cent ans. Trois femmes illustres ont
marqué l’histoire du Logis Royal : Jeanne D’Arc, Agnès Sorel, favorite de Charles VII et
première maîtresse royale officielle et Anne de Bretagne.
La Maison Lansyer
Au cœur de la cité royale et accrochée aux remparts, la maison Lansyer occupe la demeure
familiale du peintre Emmanuel Lansyer (1835 – 1893). L’artiste est considéré en son temps
comme l’un des meilleurs peintres paysagistes. Le musée présente également de façon vivante
une collection d’art japonais, ainsi qu’un ensemble rare de gravures originales de Piranèse,
Canaletto, Doré, Millet, Victor Hugo et Corot, ainsi que des esquisses de Delacroix.
La Tour Saint Antoine
Ancien clocher d’église, elle faisait office de beffroi de la ville. Elle culmine à 52 mètres.
Construite entre 1529 et 1575, elle est le seul beffroi de la Renaissance en Touraine.
L’Hôtel de Ville
Accolé à une très remarquable porte médiévale, la porte picois, cet édifice Renaissance a été
construit entre 1535 et 1543 sous l’impulsion de François 1 er, qui a donné ses premières
franchises à la ville. Le bâtiment abrite depuis lors les services municipaux.
La Chancellerie
Au cœur de la cité médiévale, la chancellerie ouvre ses portes à l’un de ses plus vivants projets
patrimoniaux et culturels. Autour du label « Ville d’Art et d’Histoire », au rez-de-chaussée de
ce bâtiment exceptionnel, récemment restauré, s’ouvrent cinq salles qui racontent l’histoire de
Loches depuis son origine à nos jours. Cette exposition permanente gratuite constitue le cœur
d’un dispositif qui comprend une cour, véritable décor de théâtre et des communs devenus lieu
d’expositions et d’événements. Un jardin traité en amphithéâtre complète cet ensemble.
13
D'après une légende pittoresque, le jeune roi Gontran, fils de Clotaire Ier et petit-fils de
Clovis, endormi au bord d'un murmurant ruisseau, sur les genoux de son gentil écuyer, rêve
d'un trésor caché dans la grotte... Bientôt l'écuyer voit passer sur le visage de Gontran un
petit lézard qui court vers le coteau voisin et en revient tout brillant comme l'or... Informé de
cette vision, le roi s'empresse de faire fouiller le coteau qui recèle d'immenses richesses.
L'histoire est ici intimement liée aux monuments. On a retrouvé dans la vallée des restes galloromains, une étuve romaine, ce qui prouve que Montrésor fut habité très tôt.
En l'an 887 on trouve le premier seigneur de Montrésor... Au début du XIe siècle, Foulques
Nerra fit construire par son capitaine Roger "le petit-diable", sur ce promontoire rocheux
dominant le val de l'Indrois, une forteresse ayant pour mission d'interdire l'accès des
plateaux. Le double mur d'enceinte et les massives tours d'angle et tours d'entrée du XIIe
siècle impressionnent encore par leur puissante architecture féodale. Au pied du château, le
long de l'Indrois, il s'est constuit au fil des siècles un pittoresque village. D'abord rattaché à
la paroisse de Beaumont-village, Montrésor devint une paroisse indépendante en 1700. En
1493, la châtellenie de Montrésor, en entrant dans la famille des Bastarnay, va devenir le
rendez-vous de tout ce que la fin du XVe compta de distingué et de séduisant...et cela grâce à
Imbert de Bastarnay, "monseigneur du bouchage", qui fut le confident et le conseiller fidèle de
quatre de nos rois de France : Louis XI, CharlesVIII, Louis XII, François Ier .Imbert fit
construire, dans l'enceinte de la forteresse, une agréable résidence et il fonda la collégiale. Ce
château est donc une demeure de plaisance entourée du système de défense du château
féodal. À la mort des derniers descendants d'Imbert, en 1621, le château fut vendu à Henri de
Bourdeilles, puis, à la fin du XVIIe, à Paul de Beauvilliers. Pendant plus d'un siècle, jusqu'à
1831, Montrésor restera propriété de la famille de Beauvilliers. C'est en 1849 que le Comte
Xavier Branicki, gentilhomme polonais qui se lia d'amitié avec Napoléon III, acquit ce château.
Mécène et grand collectionneur d'art, il dota le château de nombreux meubles, tableaux et
14
objets d'art de grande valeur. À l'heure actuelle, le château est toujours la propriété des
descendants du Comte Branicki.
La visite du château est à compléter par la collégiale Saint Jean Baptiste.Elle fut
bâtie de 1519 à 1541 dans le style gothique. Cette collégiale fait partie d'un groupe de
chapelles à vocation funéraire, avec celle d'Ussé et des Roches-Tranchelion. Au bas de la nef,
trois magnifiques gisants de marbre blanc, abritent les dépouilles d’Imbert de Bastarnay, de
son épouse et de leur fils. Dans la chapelle du choeur, se trouve l'Annonciation peinte par
Philippe de Champaigne au 17ème siècle. Consacrée en 1522, la collégiale offre un très beau
décor Renaissance. La porte sud est notamment encadrée de deux colonnes dont le fût est
coupé par une large bague moulurée. De belles chutes ornent les colonnes baguées. Ce motif
décoratif qui se lit de haut en bas, commence par un anneau auquel s'accroche un fil qui porte
toute sorte d'objets suspendus. Dans la partie inférieure de l'un des fûts, un bucrane - ou
tête de boeuf - orné de feuillages se cache dans l'enchaînement des objets. L'écoinçon de
l'arc de la porte est orné d'un grand squelette qui tient une faux, représentation peu
fréquente de la mort dans la sculpture ornementale de la première Renaissance.
Si Montrésor est, par son étendue, la plus petite commune de Touraine avec moins de un km2
de superficie, c'est aussi un des plus beaux villages aux rues pittoresques bâti à l'ombre
protectrice de son puissant château qui domine de haut la coquette vallée de l'Indrois. Le
village de Montrésor est classé parmi « Les Plus Beaux Villages de France ».
15
Villandry, achevé vers 1536, est le dernier des grands châteaux qui furent bâtis sur les bords
de Loire à l’époque de la Renaissance. Villandry fut construit par un ministre des finances de
François 1er, Jean le Breton, dont les armoiries figurent sur le galbe de la lucarne de gauche.
Pour le compte de la Couronne, il avait surveillé et dirigé pendant de longues années la
construction de Chambord auprès duquel il fit édifier une réplique "en miniature" de Villandry :
Villesavin. Auparavant, il avait été ambassadeur à Rome, où il avait pu à loisir étudier l’art des
jardins. Jean Le Breton, pour construire l’actuel château, avait fait raser une vieille forteresse
du XIIe siècle dont il ne reste que les fondations et le donjon que l’on devine derrière la cour
d’honneur. Ses descendants conservèrent Villandry jusqu’en 1754, année où il devint propriété
du marquis de Castellane, ambassadeur du Roi et issu d’une très illustre famille de la noblesse
provençale. Ce dernier fit construire les dépendances de style et réaménagea l’intérieur du
château en l’adaptant aux normes de confort du XVIIIe siècle, qui sont beaucoup plus proches
des nôtres que celles de la Renaissance. Au XIXe siècle, on détruisit le jardin traditionnel pour
créer un parc à l’anglaise autour du château (dans le style du parc Monceau à Paris).
En descendant au coeur de la Touraine, vous
découvrirez des draperies, des stalactites, un
lac souterrain, des cascades pétrifiantes et
une originale reconstitution de la faune
préhistorique.
16
Au cœur du Val de Loire, berceau de la Renaissance Française, le Château de Chenonceau, le
Château des Dames, est l’un des monuments les plus aimés, les plus connus, les plus visités.
Construit sur le Cher, dont les eaux reflètent la beauté de son architecture Renaissance, le
château de Chenonceau est la merveille du Val de Loire. Ses jardins sont le témoignage
éclatant du goût et du raffinement de leurs inspiratrices : Diane de Poitiers et Catherine de
Médicis. Le château de Chenonceau a appartenu à six femmes au nombre desquelles Diane de
Poitiers et Catherine de Médicis. C'est Catherine qui fit construire la galerie enjambant la
rivière. A la fois château et pont, Chenonceau doit à cette ambivalence le privilège d'avoir
survécu à la Révolution (les paysans de la région l'utilisaient pour traverser le Cher) et à la
Seconde Guerre mondiale (où on lui reconnut son caractère exceptionnel). Pendant la période
d'occupation allemande, le château-pont servit à la Résistance puisque son côté nord se situait
en zone occupée alors que le côté sud était en zone libre.
Le commanditaire de Chenonceau, Thomas Bohier, épouse Catherine Briçonnet, issue d'une
illustre famille tourangelle, puis il construit un château digne de son ascension sociale. En
1513, il achète un château médiéval, construit par la famille de Marques à proximité du Cher.
Il entreprend immédiatement la démolition de la vieille forteresse et décide d'édifier son
nouveau logis dans le lit du fleuve, sur les fondations d'un moulin qui dépendait de l'ancien
château. Thomas Bohier ne conserve de la forteresse médiévale que la tour dite tour de
Marques, qui témoigne de l'ancienneté des lieux et fait symboliquement fonction de "donjon",
signe féodal indispensable au nouveau possesseur de Chenonceau. Le château de Thomas Bohier
17
et Catherine Briçonnet n'a pas l'ampleur du château actuel, rendu célèbre par la galerie sur le
Cher édifiée ultérieurement. Le premier édifice se résume à un élégant petit château carré,
parfaitement régulier, où se répètent partout les mêmes mesures ou leurs multiples, et
cantonné de tourelles aux quatre angles. La régularité du plan est un signe d'excellence dans
l'architecture des années 1510-1520. L'originalité de Chenonceau se remarque dans d'autres
dispositions. L'entrée s'ouvre sur un large vestibule aux voûtes complexes dont les clefs
s'alignent alternativement sur deux axes différents. Dans sa première version, le vestibule se
termine par une baie et un balcon dominant le Cher qui donnent lumière et clarté. L'escalier
droit occupe une position presque centrale et perpendiculaire au vestibule, signe étonnant de
nouveauté. Le répertoire ornemental de la Renaissance envahit la façade et s'étend à la tour
de Marques, remise au goût du jour. Thomas Bohier meurt en Italie en 1524, une fois le
château achevé. La succession faisant apparaître des dettes importantes, son fils, Jean
Bohier, cède le château à François 1er en 1535. En 1547, Henri II l'offre à sa favorite Diane
de Poitiers qui prolonge le château par un pont sur le Cher et prévoit de construire une galerie
sur ce pont. Il ne s'agit pas de relier les deux rives mais d'ouvrir la vue sur le Cher, de lier le
château et le paysage où l'eau joue un rôle important. En effet, le pont élevé par Diane ne
rejoint pas l'autre rive et la galerie qu'elle projette d'édifier doit se terminer par une fenêtre
et un balcon.
La mort du Henri II en 1559 ne permet pas à Diane de Poitiers de mener à bien ce projet.
La reine Catherine de Médicis l'oblige à échanger Chenonceau contre Chaumont dont le cadre
est nettement moins enchanteur. Il faut attendre 1580 pour que survienne la troisième
campagne de construction de Chenonceau, celle où Catherine de Médicis fait édifier la galerie
sur le pont, selon un nouveau projet. La galerie, plus lourde que celle prévue par Diane de
Poitiers, écrase quelque peu l'édifice primitif mais, paradoxe de l'histoire, c'est elle qui a
immortalisé l'image du château. Depuis 1913, est propriété de la famille Menier.
18
París, capital de Francia, surcada por el Sena. Es centro de un área metropolitana de
11.174.743 habitantes (2004), una de las mayores de Europa y que corresponde a la Región
parisina o "Isla de Francia" (en francés Île-de-France).
Lutecia fue el nombre con que se conocía en el siglo I AC a la villa afincada en la isla de la Cité,
Francia, ocupada por la tribu de los parisii; 150 años después ya se la conocía con su actual
nombre: París.
Historia
En el Siglo III adC un pueblo celta llamado parisii, fortificó la isla de la Cité, que constituye el
corazón de la ciudad. De este pueblo se deriva el actual nombre de París.
En la época del Imperio Romano la ciudad tenía el nombre de Lutecia. Los romanos ampliaron
los límites de la ciudad, especialmente sobre la ribera izquierda del río Sena.
En la fortaleza de la Bastilla, que se encontraba en el oriente de la ciudad, se inició
oficialmente el movimiento que se conoce como Revolución Francesa. Con Napoleón III la
ciudad sufrió su transformación urbana más significativa. Se demolió gran parte de la ciudad
antigua y medieval y se dio paso a los grandes bulevares y a los edificios modernos, el más
destacado de los cuales fue la Ópera Garnier. Se construyeron canalizaciones de aguas y otros
importantes adelantos en obras públicas. Este periodo llegó a su fin después de la caída del
emperador como consecuencia de la derrota sufrida por su ejército en la guerra francoprusiana.
19
París albergó durante la segunda mitad del siglo XIX varias exposiciones. La más destacada
tuvo lugar en 1889 con motivo de la conmemoración del primer centenario de la revolución. Para
este evento fue construida la Torre Eiffel, que, aunque debía ser desmontada una vez
terminada la exposición, continúa en su emplazamiento original El siglo se inició con la
construcción del metro de París. En 1940 la ciudad fue conquistada por el Wehrmacht (ejército
alemán) de Adolf Hitler en la Segunda Guerra Mundial. París estuvo administrada por las
fuerzas de ocupación, que la abandonaron después de cuatro años, sin causarle destrozos de
consideración, en comparación con los daños sufridos por otras ciudades europeas en esa
guerra. Con el presidente François Mitterrand, en la década de los 80 y comienzos de los 90,
la ciudad recibió un renovado impulso en su urbanismo e infraestructura. Se renovaron
sectores deprimidos de la ciudad, en particular barrios de la rivera izquierda y la Villette; se
levantaron nuevos edificios emblemáticos, como la biblioteca, el arco de la Defensa y el Museo
de Orsay; y se renovó radicalmente el Museo del Louvre.
París tiene un lugar privilegiado en el ámbito artístico y cultural a nivel mundial en los últimos
siglos. Aquí han nacido movimientos artísticos como el expresionismo, el surrealismo y el
fauvismo e importantes figuras del arte y el pensamiento como René Descartes, Voltaire,
Victor Hugo, Émile Zola, Alexandre Dumas (hijo), Edgar Degas, Claude Monet,
Jean-Paul Sartre, Jean Renoir. También ha acogido a numerosos artistas extranjeros
como Leonardo da Vinci, Vincent van Gogh, Pablo Picasso y a escritores como Ernest
Hemingway, Gabriel García Márquez… Además la ciudad cuenta con la mayor aglomeración
de obras de arte, repartidas en sus múltiples museos y colecciones privadas. Dentro de estos
tesoros el más destacado es la famosa Mona Lisa, una pintura de valor incalculable. Por otra
parte el patrimonio arquitectónico de París no tiene parangón en el mundo, ninguna otra ciudad
ha levantado tantos y tan valiosos edificios de los más destacados arquitectos universales.
La construyó el ingeniero francés Gustave Eiffel para la Exposición universal de 1889 en París.
Tiene una altura de 324 metros con un peso (recién construida) de 7.300 toneladas, si bien hoy
en día se calcula su peso en más de 10.000 (debido al museo, restaurantes, almacenes y tiendas
que alberga en la actualidad). Estaba previsto que la torre alcanzase los 350 metros, pero los
vecinos se asustaron (por la amenaza de que un edificio tan alto y construido sin apenas piedras
pudiera caerse) y se manifestaron, provocando un cambio de planes. Los 24 últimos metros
corresponden a una antena de televisión que fue añadida mucho después. Construida en
controversia con los artistas de la época, que la veían como un monstruo de acero, es
considerada como el símbolo de Francia y de la ciudad de París en particular. El color original
de la torre fue el amarillo, aunque hoy en día no quede nada de él. Según la temperatura
ambiental, la cúspide de la Torre Eiffel puede acercarse o alejarse del suelo unos 8
centímetros, debido a la expansión térmica del metal que la compone. Para alcanzar la cima hay
que recorrer 1665 escalones (y no 1792, número que algunos toman por cierto en alusión al año
20
de la Primera República). El mantenimiento de la torre incluye la aplicación de 50 toneladas
métricas de pintura cada 7 años, para protegerla de la corrosión. En ocasiones, el color de la
pintura se cambia, aunque actualmente (2005) la torre muestra una tonalidad marrón. En el
primer piso, hay consolas que permiten votar en la elección del futuro color de la estructura.
La estructura fue construida entre los años 1887 y 1889 para que sirviera como arco de
entrada para la Exposition Universelle, una feria mundial organizada para conmemorar el
centenario de la Revolución Francesa. La torre se inauguró el 31 de marzo de 1889, y se abrió
al público el 6 de mayo de ese año. Cerca de 200 obreros unieron 18.038 piezas de hierro,
usando dos millones y medio de bulones, y siguiendo el diseño estructural de Maurice Koechlin.
El riesgo de accidentes en la construcción era alto, ya que a diferencia de los rascacielos
modernos, la torre es una estructura abierta sin pisos intermedios, con la excepción de las dos
plataformas. Sin embargo, y gracias a las precauciones de Eiffel para con sus operarios (que
incluían el uso de arneses), solo uno de ellos falleció durante la instalación de los elevadores.
Como anécdota, cabe anotar que el ingeniero francés Gustave Eiffel presentó primero su
proyecto de torre a los responsables del Ayuntamiento de Barcelona, para que la torre se
construyera en Barcelona con motivo de la Exposición Universal de Barcelona (1888). Pero a los
responsables del ayuntamiento barcelonés les pareció una construcción extraña y cara, que no
encajaría en la ciudad. Tras la negativa del consistorio barcelonés, Eiffel presentó su proyecto
a los responsables de la Exposición Universal de París, que se haría un año más tarde, en 1889.
Éstos aceptaron contruir la torre, pese a que en un principio pensaron que la tendrían que
desmontar una vez acabada la exposición. Sólo la voluntad popular evitó que se desarmase.
Los Campos Elíseos, Les Champs-Elysées, es la mayor avenida de París. Mide 1880 metros de
longitud, y va desde el Arco del Triunfo hasta la Plaza de la Concordia. En la parte alta de la
avenida, se encuentran cines, tiendas de lujo y grandes almacenes. La parte baja la avenida, que
desemboca en la Plaza de la Concordia, está rodeada de jardines y se encuentran varios
edificios públicos majestuosos: El Palacio del Descubrimiento («Palais de la Découverte»), el
Pequeño Palacio y el Gran Palacio, así como la Universidad París IV. Los Campos Elíseos son
parte de eje histórico de París, que se prolonga por el Jardín de las Tullerías hasta llegar al
Museo del Louvre. Por el lado opuesto del Arco de Triunfo la avenida de la Gran Armada y la
Avenida Charles de Gaulle prolongan los Campos Eliseos. En los años noventa se construyó en
este mismo eje el Gran Arco, en el barrio moderno de «La Défense», una especia de versión
moderna del Arco de Triunfo, visible desde este último. Los franceses suelen apodarla la más
hermosa avenida del mundo («la plus belle avenue du monde»).
Su nombre, Campos Elíseos, viene de la mitología griega, que denominaba así a la morada de
los muertos reservada a las almas virtuosas, el equivalente del paraíso cristiano.
21
22
Vocabulario útil para el viaje
(francés / español)
Mots élémentaires / Palabras básicas
EXPRESIONES DE TRATAMIENTO
Sí
Oui
No
Non
Gracias
Merci
Muchas gracias
Merci beaucoup
De nada
De rien, je vous en prie
Por favor
S'il vous plaît
Discúlpeme
Pardon, excusez-moi
Hola
Bonjour
Adiós
Au revoir, Adieu
Hasta luego
À bientôt
Buenos días
Bonjour
Buenas tardes
Bon après-midi
Buenas noches
Bonsoir
Buenas noches
Bonne nuit
Encantado de conocerle.
Enchanté (de faire votre connaissance)
¿Cómo estás? ¿Qué pasa?
Comment allez-vous? Ça va?
Para pedir o preguntar
Est-ce que je peux avoir… ?
Por favor, quisiera
S’il vous plaît je voudrais…. ?
Perdón, disculpe
Pardon, excusez-moi
Lo siento mucho
Je suis vraiment désolé(e)
NECESITO COMUNICARME
No entiendo
¿Cómo se dice esto en francés?
Habla usted ...
inglés, francés, alemán, español
¿Cómo se llama usted?
¿Cuál es su nombre?
¿Dónde está el baño?
Je ne comprends pas
Comment dit-on ca en français?
Parlez-vous ...
Anglais, Français, Allemand, Espagnol
Comment vous appelez-vous?
Quel est votre nom?
Où sont les toilettes?
23
EN LA FAMILIA
Une femme,
Ùne épouse, le mari
La fille, le fils
La mère, maman ; le père, papa
La esposa
El esposo, el marido
La hija, el hijo
La madre, el padre
El amigo (m), la amiga (f)
Loisir
El televisor
La pantalla
El mando a distancia
El canal
Enchufar, conectar
¿Puedo poner la tele?
No olvides apagar la tele
Baja el sonido
Zapear
El telediario
El periodista
El periódico
La revista
La película
La serie
Dibujos animados
El documental
La radio
Emisora de radio
Grabar
Reproductor de CD- DVD
Los altavoces
El casete
La pletina
el (la) cantante
el ordenador
El ratón
Dirección electrónica
Chats
Un e-mail
Sitio
Un ami (m), une amie (f)
Loisir
Le téléviseur
L’écran
La télécommande
La chaîne
Brancher
Puis-je allumer la télé ?
N’oublie pas d’éteindre la télé
Baisse le son
Zapper
Le journal télévisé
Le journaliste
Journal
Magazine (revue)
Le film
La série
Le dessin animé
Le documentaire
La radio
Une station de radio
Enregistrer
Le lecteur de CD- DVD
Les enceintes
Le magnétophone
La platine
Le(la) chanteur (se)
L’ordinateur
La souris
Adresse électronique
Chats
Un mél
Site
Vamos a dormir Nous allons à dormir
La cama
La manta
La toalla
Le lit
La couverture
Serviette (de toilette)
24
Acostarse
Dormirse
Tener sueño
Estar agotado
Estar hecho(a) polvo
Estar cansado
Es tarde
Es temprano
Corre las cortinas
Cerrar las persianas
Mañana por la mañana
Apagar – encender la luz
¿A qué hora tengo que poner el
despertador?
¿Puede usted despertarme a la siete y
media?
Se couche
S’endormir
Avoir sommeil
Être épuisé(e)
Être crevé (e)
Être fatigué(e)
Il est tard
Il est tôt
Tirer le rideaux
Fermer les volets
Demain matin
Èteindre – allumer la lumière
Á quelle heure dois-je mettre le réveil á
sonner ?
Pouvez-vous me réveiller à sept heures
et demie?
ESTOY ENFERMO/JE SUIS MALADE
Estoy pachucho
No me siento bien
Me voy a desmayar
Estoy fatal
Me da vueltas la cabeza
Tengo (un poco mucha) fiebre
Me duele todo el cuerpo
Me duele la cabeza
Estoy mareado
Tengo ganas de vomitar
Tengo diarrea
Me he hecho daño
Me he herido
¿Duele ? sí, mucho
El dolor no es fuerte
Me he cortado
Estoy sangrando
Está hinchado
Me torcí el tobillo
La ampolla
Me he quemado la mano, el dedoMe
ha picado una avispa
Tengo catarro
Me duele la garganta, la barriga
Estoy constipado (a)
Me duelen las muelas, los oidos
Je suis patraque
Je ne me sens pas bien
Je vais m’évanouir
Ça ne va pas du tout
J’ai la tête qui tourne
J’ai (un peu, beaucoup) de la fièvre
J’ai mal partout
J’ai mal à la tête
J’ai mal au cœur
J’ai envie de vomir
J’ai la diarrhée
Je me suis fait mal
Je suis blessé (e)
Ça fait mal ? Oui, beaucoup
La douleur n’est pas forte
Je me suis coupé
Je saigne
C’est enflé
Je me suis foulé la cheville
L’ampoule
Je me suis brûlé la main, le doigt,
J’ai été piqué par une guêpe
J’ai un rhume
J’ai mal á la gorge,le ventre
Je suis enrhumé€
J’ai mal aux dents, aux oreille
25
Manger / comer
JE ME LÈVE
ET
VAMOS A COMER
JE PRENDS UN BON PETIT DEJEUNER…
Los cubiertos
La cuchara
El cuchillo
El tenedor
Una taza
La servilleta
El vaso
Les couverts
La cuillère
Le couteau
Le fourchette
Un bol
La serviette
Le verre
PERO, ¿QUÉ DESAYUNO?
El café
El café con leche
Un cortado
Un sobre de azúcar
El Colacao o Nesquick
La mantequilla
La mermelada
Las galletas
Los croissanes
Bollos pequeños
El zumo de naranja
La tostada
La rebanada de pan
Le café
Le café au lait
Un café noisette
Le sachet de sucre
Chocolat en poudre
Le beurre
La confiture
Les biscuits
Les croissants
Les brioches
Le jus d’orange
Le pain grillé -toast
La tranche de pain
LE REPAS – LE DÉJEUNER
¡Que aproveche! / Bon appétit !
El primer plato L’entrée
Patatas fritas
Ensalada mixta
Tomate
La aceituna
La cebolla
Atún en aceite
Huevo
Aceite
Vinagre
Sal
La pimienta
El pimiento
La mostaza
Frites
La salade (composée)
La tomate
L’olive
L’oignon
Le thon (à l’huile)
L’œuf
L’huile
Le vinaigre
Le sel
La poivre
Le poivron
La moutarde
26
El queso
El salchichón
El jamón (serrano)
La sopa
Los fideos
El ajo
Las judías blancas - verdes
Los garbanzos
Las lentejas
Los guisantes
La col - la coliflor
La berenjena
Los calabacines
La zanahoria
Espinacas
Habas
Tortilla
Pizza, pasta
La comida
La carne
… de vaca
de ternera
de cerdo
de cordero
La chuleta
El solomillo
El bistec
El filete empanado
El lomo de cerdo
Las albóndigas de carne
El pollo (asado, a la plancha)
La oca
El conejo
Filetes de ternera gruesos
Los mariscos
Le fromage
Le saucisson
Le jambon (du pays)
La soupe
le vermicelle
l’ail
les haricots blancs – verts
les pois chiches
les lentilles
les petit pois
le choux
l’aubergine
les courgettes
les carottes
les épinards
les fèves
l’omelette
Une pâte
Le diner
La viande
…de bœuf
… de veau
… de porc
… d’ agneau
la côtelette
Le filet
Le beefsteack
L’escalope (panée)
Le filet mignon
Les boulettes de viande
Le poulet (rôti,grill )
L’oie
Le lapin
Le tournedos
Les fruits de mer
Las gambas
Las cigalas
Los mejillones
Les crevettes
Les langoustines
Les moules
El pescado
Le poisson
La merluza
El lenguado
El bacalao
Le colin
La sole
La morue
27
La sardina
El atún
El calamar (rebozado)
La trucha
El salmón
El salmonete
La caballa
El rape
Los boquerones
La sardine
Le thon
Les calamars (frits)
La triute
Le saumon
Le rouget
Le maquereau
La lotte
Les anchois
Les desserts et les fruits Les desserts et les fruits
Las frutas
La naranja
El limón
El pomelo
La clementina
La manzana
El plátano
La pera
El melocotón
La fresa
La ciruela
El albaricoque
El melón
La piña
El higo
La sandía
Las uvas
Frutas en almíbar
Macedonia de frutas
Nata
Helado ( de vainilla, de chocolate)
Natillas
Flan
Tarta
Arroz con leche
Bombón helado
La pepita
La piel
Yogurt natural, de fresa
Les fruits
L’orange
Le citron
Le pamplemousse
La clémentine
La pomme
La banane
La poire
La pêche
La fraise
La prune
L’abricot
le melon
l`ananas
le figue
la pastèque
le raisin
fruits au sirop
Salade de fruits
Crème fraîche
La glace (à la vainille, au chocolat)
Crème anglaise
Le flan
Le gâteau, la tarte
Le riz au lait
L’esquimau
Le pépin
La peau
Yaourt natural, à la fraise…
ES QUE SOY...
Vegetariana/ Végétarien
28
Descargar