1 Historia Es una región muy vinculada a la monarquía francesa, desde que en 1418 la familia real se instaló en la Touraine. Los castillos de Amboise y de Blois fueron residencias de Carlos VII, Luis XII y Francisco I. Éste último encomendó a Leonardo da Vinci la construcción del castillo de Chambord. Numerosos nobles decidieron también trasladarse allí, por lo que se construyeron numerosos castillos cerca de los ríos Loira, Cher e Indre. Destacan los de Chenonceau y Azay-le-Rideau. Demografía Es la decimotercera región más poblada de Francia. Las tres principales áreas urbanas (Tours, Orléans y Bourges) concentran un tercio de la población regional, mayoritariamente rural. En 1999, Tours era la vigésima área urbana más poblada de Francia con 376.377 habitantes y un crecimiento del 0,69% durante el periodo 19901999. Actualmente el área más próxima a la región metropolitana de París experimenta un fuerte crecimiento debido a esta proximidad. Economía Es la primera región de la Unión Europea productora de cereales. También tienen gran importancia los cultivos de remolacha azucarera, colza y girasol. Región de gran tradición agrícola, la descentralización industrial de los años 1950 hizo surgir sectores industriales modernos, como el sector farmacéutico. Actualmente, es la segunda región francesa en producción de energía, debido a las cuatro centrales nucleares situadas en la orilla del río Loira. Asimismo, en Orléans destaca el sector de la banca, el de los seguros, y el de la investigación científica. En Tours predominan la sanidad y la educación universitaria. 2 Tours se halla situada a una hora de París, a cinco de Londres y a tres horas y media de Bruselas. Clasificada como ciudad de arte y de historia, Tours es una ciudad de dimensión humana que se puede recorrer a pie y disfrutar del encanto de sus calles antiguas, sus museos, sus tiendas y sus mercados. Tours es una ciudad segura, dinámica que atrae a más de 30 000 estudiantes. En la región, donde se habla “el mejor francés” del país, vivieron escritores como Rabelais, Ronsard, Balzac y Bergoson. 3 L'orientation au Lycée Grandmont Dans un parc de 13 hectares En 1176, le roi Henri II Plantagenet fit don du "Bois Rahier" situé au sud de Tours aux moines de l'ordre de Grandmont qui y demeurèrent jusqu'en 1774 et laissèrent leur nom au Parc. 1959 Ouverture de la cité 1961 Destruction du château 1963 Le lycée devient autonome 1977 Cité scolaire scindée en trois établissement Lycée Grandmont (général et technologique), Collèg Jean-Philippe Rameau, Lycée professionnel Victor Lal 1998 Fin de la cité scolaire Grandmont. Les trois établissements deviennent autonomes. 9 sections post-bac 24 classes de terminale 25 classes de première 20 classes de seconde 2300 élèves 4 5 Esta región se conoce como la de los Castillos del Loira, debido al gran número de castillos que duermen en sus orillas. 6 Azay-le-Rideau Cheverny Moncontour Chaumont Chambord Blois Chenonceau Saumur 7 Ville d’Indre et Loire, Amboise est édifiée au confluent de la Loire et de la Masse, à 24 km à l’Est de Tours. En 2000, Amboise compte 11 968 habitants qu'on appelle des Amboisiens. Son château résulte de la reconstruction fastueuse par Charles VIII d’une forteresse antérieure (médiévale) qui s’élève sur un escarpement propice à la défense. Des origines à la Renaissance Les origines du château remontent au VIIIème siècle. Dès l’époque gallo-romaine, Amboise fut un site défensif. Au début du Moyen-age, un pont sur la Loire est construit et permet de renforcer les défenses stratégiques de la ville. Avant d'être rattaché à la couronne, le Château d'AMBOISE appartenait à la famille d'AMBOISE. Louis d'Amboise fut en effet condamné à mort par le Roi Charles VII le 8 mai 1431 pour avoir essayé de l'enlever en compagnie de son favori Georges de La Trémoille au château de Chinon. Le château et la seigneurie d'AMBOISE ainsi que le château de Montrichard lui furent confisqués et rattachés à la couronne par lettres patentes le 4 septembre 1434. Au milieu du XVème siècle, le roi Charles VII reprit la ville à ses envahisseurs. Louis XI, son successeur, commença les travaux de reconstruction du château. 8 Ce fut Charles VIII qui décida de reconstruire la forteresse. Il ramena alors d’Italie un certain nombre de meubles et fit appel à Pacello de Mercogliano – horticulteur italien – afin d’aménager les jardins de la demeure royale. En 1495, il demande l’aide à deux maîtres maçons, Dominique de Cortone et Fra Giocondo pour donner une allure royale à cette demeure: le style Renaissance. À la demande du roi, le bailli d'Amboise - Raymond de Dezest - et les architectes - Colin Biart, Guillaume Senault et Louis Armangeart - vont faire renaître le château à l'aide de pas moins de 250 maçons. A force de travail acharné, le château sera composé de plusieurs nouveaux bâtiments : l’aile du logis du Roy, la grosse tour des Minimes avec sa large rampe hélicoïdale, la tour Hurtault (ou tour de César) et la chapelle Saint-Hubert en gothique flamboyant. En l’espace de six années – de 1492 à 1498 - le château devint magnifique. Dès lors, le château fut composé de deux logis : l'un face à la Loire, orienté au nord ; l'autre orienté vers l'Amasse. (Seul le premier subsiste aujourd'hui.). Charles VIII y décède accidentellement en 1498. Louis XII lui succédant, les travaux continuèrent toujours avec la même ardeur. François 1er passe sa jeunesse, ainsi que les premières années de son règne, au château d’Amboise. Le jeune monarque invita - en 1516 le plus grand des génies de l’époque, Léonard de Vinci, à résider à Amboise, au Manoir du Clos-Lucé. Ce sera une période fastueuse pour la ville. Louise de Savoie, mère du nouveau roi, vivra dès lors, au château. En mars 1560, le comte de Guise découvrit un coup d’État protestant monté par les Calvinistes : c'est la conjuration d'Amboise. Le 12 mars 1563, Condé signa avec la Reine Catherine de Médicis la paix ou traité d’Amboise. L’édit de pacification autorise le culte protestant aux seigneurs et justiciers. Les autres réformés, peuvent dans une ville par bailliage ou sénéchaussée, fréquenter le temple à condition que celui-ci soit situé hors des murs. L’époque moderne Au début du XVIIème siècle, le château devient la propriété de Gaston d’Orléans, frère de Louis XIII. C’est alors que le château royal perd de sa noblesse en devenant une prison. Louis XIV, son successeur, en fera d’ailleurs usage en y détenant prisonnier Nicolas Fouquet et le Duc de Lauzun. En 1762, Louis XVI fit don du château au Duc de Choiseul. Peu de temps après, ce dernier se trouva en disgrâce. En effet, ministre de Louis XV, il fut remercié en 1770. Exilé à Amboise, il en profita pour faire édifier, entre 1775 et 1778 – dans le parc même du château de Choiseul un monument haut de 40 mètres, la Pagode de Chanteloup. Dès lors, la Cour se précipite à la Pagode. Napoléon donne le château à l'ex-consul Pierre-Roger Ducos. Son nouveau propriétaire n'ayant pas les moyens financiers de l'entretenir en totalité, il en fit détruire - entre 1806 et 1810 - les deux tiers. L'église, la Collégiale Saint Florentin, les Logis des Reines et au-delà disparaissent. 9 En 1815, le château change de propriétaire. C’est à Louise Marie Adélaïde de BourbonPenthièvre, Duchesse d’Orléans, qu’on le restitue. A sa mort, en 1821, son fils, le futur LouisPhilippe en hérite. En 1848, l’État reprit possession du château et en fit à nouveau une prison d’État. De 1848 à 1852, Abd El Kader y est emprisonné. En 1873, le château est à nouveau restitué à la famille Orléans qui le transforma en maison d’accueil pour les personnes âgées. Puis, au début du XXème siècle, Monsieur Ruprich-Robert et son fils, restaurèrent avec beaucoup de soin, le château. De nos jours, le château a toujours la même allure qu'il avait au XVème et XVIème siècle, du côté de la Loire. À l'intérieure, un grand nombre de bâtiments n'existent plus. Il ne reste environ qu’un cinquième de ce qu’était la forteresse au temps de sa splendeur. Nous pouvons admirer la Chapelle Saint-Hubert (où repose Léonard de Vinci), la tour Hurtault et la tour des Minimes, le logis du Roy et les salles du rez-de-chaussée du logis des Reines. Léonard de Vinci 1452 - 1519 Léonard de Vinci, un des grands hommes de la Renaissance, peintre, ingénieur, architecte, dessina des monuments, des machines qui ne furent réalisées que dans les siècles futurs. Léonard de Vinci a observé la nature en peintre et en scientifique. Léonard de Vinci a compris, ou cherché à comprendre tous les phénomènes qui l'entouraient. Il a imaginé des inventions telles que le parachute,le char d'assaut, l'appareil photo, le bateau à aubes, les machines volantes, l'hélicoptère, bien des siècles avant leur existence. Amboise : le Château Royal Le Roi François 1er, pendant les guerres d’Italie (1515) a été séduit par l’art italien, la sculpture, la peinture, l’architecture, l’art des jardins ...: «La Renaissance». François 1er pour introduire ce nouvel art dans son royaume, invite le plus grand artiste de son temps à le rejoindre en France et lui confère le titre de «premier peintre, ingénieur et architecte du roi». En 1517 Léonard de Vinci, à 65 ans, accepte l'invitation de François 1er. Le Roi lui offre le Manoir du Cloux (Le Clos Lucé). Là, il avait, dans sa jeunesse, joué au ballon, à l'arc et aux jeux guerriers avec ses amis. La seule contrepartie demandée à Léonard de Vinci, par le Roi est de pouvoir philosopher, converser avec l'artiste, qu'il viendra voir tous les jours souvent secrètement, empruntant un sous terrain reliant me Château Royal d'Amboise et le Château du Clos Lucé. le manoir du Clos Lucé: découvrez les maquettes des merveilleuses machines imaginée par Léonard de Vinci, ce génie qui vécut cinq siècles auparavant. 10 Découvrez la collégiale des Roches Tranchelion et de traverser la pittoresque vallée de la Manse, ainsi que celles de la Vienne et de l'Indre. Les villages d'Azay le Rideau, Richelieu, Candes St Martin, St Epain et Avon les Roches méritent aussi le détour. Chinon offre à ses visiteurs un site incomparable, avec ses forteresse médiévale. Ses promenades ombragées, ses venelles, sa rivière et la forêt sont des atouts appréciées. Chinon, riche de son histoire, de sa culture, de ses édifices... a bien mérité son label Ville d’Art et d’Histoire, du même que son inscription au patrimoine mondiale de l’UNESCO. Ancien lieu où se dressait une forteresse, le village conserve son château, ses logis, ses jardins, et deux lavoirs bordant la Manse qui serpente sous les peupliers. Situé au coeur de la Touraine, dans la pittoresque vallée de la Manse, le village est plein de charme. Les maisons sont magnifiques, notamment celles de la place des XVe et XVIe siècles. Construites en tuffeau, cette belle pierre blanche de Touraine, elles ont conservé des fenêtres à meneaux et de beaux toits d'ardoises agrémentés de lucarnes ouvragées. On peut ensuite, en passant sous la poterne, grimper jusqu'aux ruines du château du XVe siècle. A droite, l'église date de 1527. Crissay saura vous séduire avec le charmant désordre de ses rues, ses jardins, ses petits murs fleuris. C'est un adorable village campagnard qui a su garder toute son authenticité. 11 Candes St Martin : blanches du tuffeau de Touraine, la collégiale et les maisons du village, bâties à flanc de coteau, se mirent dans les eaux de la Vienne et de la Loire. Le village est d'une homogénéité rare, ses maisons sont superbes, certaines datant du XVe siècle. Construites en tuffeau blanc, leur décoration semble inspirée par les châteaux des alentours, leur empruntant mille détails. Avant de remonter jusqu'en haut du village pour découvrir les habitations troglodytes creusées dans la falaise, il faut s'attarder rue du Bas, c'est là qu'habitaient les mariniers de la Loire, lorsque Candes était un port de pêche et de batellerie actif, également admirer l'église collégiale des XIIe et XIIIe siècles. Les rois de France et d'Angleterre y séjournèrent, rendant à cette occasion visite aux archevêques de Tours. Enfin, les adeptes de la marche pourront gravir le petit sentier de pierres de la colline surplombant le village : la vue sur les toits d'ardoise et sur les deux rivières y est très représentative du charme de la Douce France. Loches constitua durant tout le Moyen Age une place stratégique de premier ordre. Sise aux confins du Poitou, de la Touraine et du Berry, plantée sur un long éperon rocheux, elle attira d’abord la convoitise des ducs d’Aquitaine, des comtes de Blois-Chartres et de ceux d’Anjou. Elle fut ensuite l’enjeu d’une âpre lutte entre Capétiens et Plantagenêts, servit longtemps de résidence au « Roi de Bourges » (le futur Charles VII) et ses murs abritèrent les jeunes années de la vie de Louis XI. Cité Médiévale d'exception, offre un panorama historique grandeur nature, du Moyen-Age à la Renaissance. La visite chemine à travers les portes et les ruelles de la ville basse pour atteindre le promontoire fortifié de la Cité Royale : Tour Saint-Antoine, Porte des Cordeliers et Porte Picois, Hôtel de Ville, Chancellerie, Maison du Centaure, Collégiale Saint-Ours, Donjon, Logis Royal, Fort Saint-Ours... 12 LES SITES HISTORIQUES Cette plate forme, parfaitement conservée, est entourée d’une triple ceinture de remparts enserrant le donjon, le logis royal, la Collégiale Saint Ours et la Maison Lansyer. La Porte Royale Unique issue permettant l’accès à la citadelle, cette porte date des 12 ème et 13 ème siècles. Elle fut complétée au 15 ème siècle par un corps de bâtiment central et une terrasse à canons. La Collégiale Saint Ours Edifiée au 11 ème et 12 ème siècles, c’est selon Viollet le Duc « un édifice étrange et sauvage beauté, unique dans le monde ». Son architecture romane est marquée par son exceptionnel portail polychrome sculpté de personnages et d’animaux tirés du bestiaire du Moyen Age et par les deux pyramides de pierre, appelées « dubes », élevées vers 1165. Le Logis Royal Bâti sur la pointe de l’éperon rocheux dominant la vallée de l’Indre, le Logis Royal est l’une des résidences favorites des Valois, pendant la guerre de cent ans. Trois femmes illustres ont marqué l’histoire du Logis Royal : Jeanne D’Arc, Agnès Sorel, favorite de Charles VII et première maîtresse royale officielle et Anne de Bretagne. La Maison Lansyer Au cœur de la cité royale et accrochée aux remparts, la maison Lansyer occupe la demeure familiale du peintre Emmanuel Lansyer (1835 – 1893). L’artiste est considéré en son temps comme l’un des meilleurs peintres paysagistes. Le musée présente également de façon vivante une collection d’art japonais, ainsi qu’un ensemble rare de gravures originales de Piranèse, Canaletto, Doré, Millet, Victor Hugo et Corot, ainsi que des esquisses de Delacroix. La Tour Saint Antoine Ancien clocher d’église, elle faisait office de beffroi de la ville. Elle culmine à 52 mètres. Construite entre 1529 et 1575, elle est le seul beffroi de la Renaissance en Touraine. L’Hôtel de Ville Accolé à une très remarquable porte médiévale, la porte picois, cet édifice Renaissance a été construit entre 1535 et 1543 sous l’impulsion de François 1 er, qui a donné ses premières franchises à la ville. Le bâtiment abrite depuis lors les services municipaux. La Chancellerie Au cœur de la cité médiévale, la chancellerie ouvre ses portes à l’un de ses plus vivants projets patrimoniaux et culturels. Autour du label « Ville d’Art et d’Histoire », au rez-de-chaussée de ce bâtiment exceptionnel, récemment restauré, s’ouvrent cinq salles qui racontent l’histoire de Loches depuis son origine à nos jours. Cette exposition permanente gratuite constitue le cœur d’un dispositif qui comprend une cour, véritable décor de théâtre et des communs devenus lieu d’expositions et d’événements. Un jardin traité en amphithéâtre complète cet ensemble. 13 D'après une légende pittoresque, le jeune roi Gontran, fils de Clotaire Ier et petit-fils de Clovis, endormi au bord d'un murmurant ruisseau, sur les genoux de son gentil écuyer, rêve d'un trésor caché dans la grotte... Bientôt l'écuyer voit passer sur le visage de Gontran un petit lézard qui court vers le coteau voisin et en revient tout brillant comme l'or... Informé de cette vision, le roi s'empresse de faire fouiller le coteau qui recèle d'immenses richesses. L'histoire est ici intimement liée aux monuments. On a retrouvé dans la vallée des restes galloromains, une étuve romaine, ce qui prouve que Montrésor fut habité très tôt. En l'an 887 on trouve le premier seigneur de Montrésor... Au début du XIe siècle, Foulques Nerra fit construire par son capitaine Roger "le petit-diable", sur ce promontoire rocheux dominant le val de l'Indrois, une forteresse ayant pour mission d'interdire l'accès des plateaux. Le double mur d'enceinte et les massives tours d'angle et tours d'entrée du XIIe siècle impressionnent encore par leur puissante architecture féodale. Au pied du château, le long de l'Indrois, il s'est constuit au fil des siècles un pittoresque village. D'abord rattaché à la paroisse de Beaumont-village, Montrésor devint une paroisse indépendante en 1700. En 1493, la châtellenie de Montrésor, en entrant dans la famille des Bastarnay, va devenir le rendez-vous de tout ce que la fin du XVe compta de distingué et de séduisant...et cela grâce à Imbert de Bastarnay, "monseigneur du bouchage", qui fut le confident et le conseiller fidèle de quatre de nos rois de France : Louis XI, CharlesVIII, Louis XII, François Ier .Imbert fit construire, dans l'enceinte de la forteresse, une agréable résidence et il fonda la collégiale. Ce château est donc une demeure de plaisance entourée du système de défense du château féodal. À la mort des derniers descendants d'Imbert, en 1621, le château fut vendu à Henri de Bourdeilles, puis, à la fin du XVIIe, à Paul de Beauvilliers. Pendant plus d'un siècle, jusqu'à 1831, Montrésor restera propriété de la famille de Beauvilliers. C'est en 1849 que le Comte Xavier Branicki, gentilhomme polonais qui se lia d'amitié avec Napoléon III, acquit ce château. Mécène et grand collectionneur d'art, il dota le château de nombreux meubles, tableaux et 14 objets d'art de grande valeur. À l'heure actuelle, le château est toujours la propriété des descendants du Comte Branicki. La visite du château est à compléter par la collégiale Saint Jean Baptiste.Elle fut bâtie de 1519 à 1541 dans le style gothique. Cette collégiale fait partie d'un groupe de chapelles à vocation funéraire, avec celle d'Ussé et des Roches-Tranchelion. Au bas de la nef, trois magnifiques gisants de marbre blanc, abritent les dépouilles d’Imbert de Bastarnay, de son épouse et de leur fils. Dans la chapelle du choeur, se trouve l'Annonciation peinte par Philippe de Champaigne au 17ème siècle. Consacrée en 1522, la collégiale offre un très beau décor Renaissance. La porte sud est notamment encadrée de deux colonnes dont le fût est coupé par une large bague moulurée. De belles chutes ornent les colonnes baguées. Ce motif décoratif qui se lit de haut en bas, commence par un anneau auquel s'accroche un fil qui porte toute sorte d'objets suspendus. Dans la partie inférieure de l'un des fûts, un bucrane - ou tête de boeuf - orné de feuillages se cache dans l'enchaînement des objets. L'écoinçon de l'arc de la porte est orné d'un grand squelette qui tient une faux, représentation peu fréquente de la mort dans la sculpture ornementale de la première Renaissance. Si Montrésor est, par son étendue, la plus petite commune de Touraine avec moins de un km2 de superficie, c'est aussi un des plus beaux villages aux rues pittoresques bâti à l'ombre protectrice de son puissant château qui domine de haut la coquette vallée de l'Indrois. Le village de Montrésor est classé parmi « Les Plus Beaux Villages de France ». 15 Villandry, achevé vers 1536, est le dernier des grands châteaux qui furent bâtis sur les bords de Loire à l’époque de la Renaissance. Villandry fut construit par un ministre des finances de François 1er, Jean le Breton, dont les armoiries figurent sur le galbe de la lucarne de gauche. Pour le compte de la Couronne, il avait surveillé et dirigé pendant de longues années la construction de Chambord auprès duquel il fit édifier une réplique "en miniature" de Villandry : Villesavin. Auparavant, il avait été ambassadeur à Rome, où il avait pu à loisir étudier l’art des jardins. Jean Le Breton, pour construire l’actuel château, avait fait raser une vieille forteresse du XIIe siècle dont il ne reste que les fondations et le donjon que l’on devine derrière la cour d’honneur. Ses descendants conservèrent Villandry jusqu’en 1754, année où il devint propriété du marquis de Castellane, ambassadeur du Roi et issu d’une très illustre famille de la noblesse provençale. Ce dernier fit construire les dépendances de style et réaménagea l’intérieur du château en l’adaptant aux normes de confort du XVIIIe siècle, qui sont beaucoup plus proches des nôtres que celles de la Renaissance. Au XIXe siècle, on détruisit le jardin traditionnel pour créer un parc à l’anglaise autour du château (dans le style du parc Monceau à Paris). En descendant au coeur de la Touraine, vous découvrirez des draperies, des stalactites, un lac souterrain, des cascades pétrifiantes et une originale reconstitution de la faune préhistorique. 16 Au cœur du Val de Loire, berceau de la Renaissance Française, le Château de Chenonceau, le Château des Dames, est l’un des monuments les plus aimés, les plus connus, les plus visités. Construit sur le Cher, dont les eaux reflètent la beauté de son architecture Renaissance, le château de Chenonceau est la merveille du Val de Loire. Ses jardins sont le témoignage éclatant du goût et du raffinement de leurs inspiratrices : Diane de Poitiers et Catherine de Médicis. Le château de Chenonceau a appartenu à six femmes au nombre desquelles Diane de Poitiers et Catherine de Médicis. C'est Catherine qui fit construire la galerie enjambant la rivière. A la fois château et pont, Chenonceau doit à cette ambivalence le privilège d'avoir survécu à la Révolution (les paysans de la région l'utilisaient pour traverser le Cher) et à la Seconde Guerre mondiale (où on lui reconnut son caractère exceptionnel). Pendant la période d'occupation allemande, le château-pont servit à la Résistance puisque son côté nord se situait en zone occupée alors que le côté sud était en zone libre. Le commanditaire de Chenonceau, Thomas Bohier, épouse Catherine Briçonnet, issue d'une illustre famille tourangelle, puis il construit un château digne de son ascension sociale. En 1513, il achète un château médiéval, construit par la famille de Marques à proximité du Cher. Il entreprend immédiatement la démolition de la vieille forteresse et décide d'édifier son nouveau logis dans le lit du fleuve, sur les fondations d'un moulin qui dépendait de l'ancien château. Thomas Bohier ne conserve de la forteresse médiévale que la tour dite tour de Marques, qui témoigne de l'ancienneté des lieux et fait symboliquement fonction de "donjon", signe féodal indispensable au nouveau possesseur de Chenonceau. Le château de Thomas Bohier 17 et Catherine Briçonnet n'a pas l'ampleur du château actuel, rendu célèbre par la galerie sur le Cher édifiée ultérieurement. Le premier édifice se résume à un élégant petit château carré, parfaitement régulier, où se répètent partout les mêmes mesures ou leurs multiples, et cantonné de tourelles aux quatre angles. La régularité du plan est un signe d'excellence dans l'architecture des années 1510-1520. L'originalité de Chenonceau se remarque dans d'autres dispositions. L'entrée s'ouvre sur un large vestibule aux voûtes complexes dont les clefs s'alignent alternativement sur deux axes différents. Dans sa première version, le vestibule se termine par une baie et un balcon dominant le Cher qui donnent lumière et clarté. L'escalier droit occupe une position presque centrale et perpendiculaire au vestibule, signe étonnant de nouveauté. Le répertoire ornemental de la Renaissance envahit la façade et s'étend à la tour de Marques, remise au goût du jour. Thomas Bohier meurt en Italie en 1524, une fois le château achevé. La succession faisant apparaître des dettes importantes, son fils, Jean Bohier, cède le château à François 1er en 1535. En 1547, Henri II l'offre à sa favorite Diane de Poitiers qui prolonge le château par un pont sur le Cher et prévoit de construire une galerie sur ce pont. Il ne s'agit pas de relier les deux rives mais d'ouvrir la vue sur le Cher, de lier le château et le paysage où l'eau joue un rôle important. En effet, le pont élevé par Diane ne rejoint pas l'autre rive et la galerie qu'elle projette d'édifier doit se terminer par une fenêtre et un balcon. La mort du Henri II en 1559 ne permet pas à Diane de Poitiers de mener à bien ce projet. La reine Catherine de Médicis l'oblige à échanger Chenonceau contre Chaumont dont le cadre est nettement moins enchanteur. Il faut attendre 1580 pour que survienne la troisième campagne de construction de Chenonceau, celle où Catherine de Médicis fait édifier la galerie sur le pont, selon un nouveau projet. La galerie, plus lourde que celle prévue par Diane de Poitiers, écrase quelque peu l'édifice primitif mais, paradoxe de l'histoire, c'est elle qui a immortalisé l'image du château. Depuis 1913, est propriété de la famille Menier. 18 París, capital de Francia, surcada por el Sena. Es centro de un área metropolitana de 11.174.743 habitantes (2004), una de las mayores de Europa y que corresponde a la Región parisina o "Isla de Francia" (en francés Île-de-France). Lutecia fue el nombre con que se conocía en el siglo I AC a la villa afincada en la isla de la Cité, Francia, ocupada por la tribu de los parisii; 150 años después ya se la conocía con su actual nombre: París. Historia En el Siglo III adC un pueblo celta llamado parisii, fortificó la isla de la Cité, que constituye el corazón de la ciudad. De este pueblo se deriva el actual nombre de París. En la época del Imperio Romano la ciudad tenía el nombre de Lutecia. Los romanos ampliaron los límites de la ciudad, especialmente sobre la ribera izquierda del río Sena. En la fortaleza de la Bastilla, que se encontraba en el oriente de la ciudad, se inició oficialmente el movimiento que se conoce como Revolución Francesa. Con Napoleón III la ciudad sufrió su transformación urbana más significativa. Se demolió gran parte de la ciudad antigua y medieval y se dio paso a los grandes bulevares y a los edificios modernos, el más destacado de los cuales fue la Ópera Garnier. Se construyeron canalizaciones de aguas y otros importantes adelantos en obras públicas. Este periodo llegó a su fin después de la caída del emperador como consecuencia de la derrota sufrida por su ejército en la guerra francoprusiana. 19 París albergó durante la segunda mitad del siglo XIX varias exposiciones. La más destacada tuvo lugar en 1889 con motivo de la conmemoración del primer centenario de la revolución. Para este evento fue construida la Torre Eiffel, que, aunque debía ser desmontada una vez terminada la exposición, continúa en su emplazamiento original El siglo se inició con la construcción del metro de París. En 1940 la ciudad fue conquistada por el Wehrmacht (ejército alemán) de Adolf Hitler en la Segunda Guerra Mundial. París estuvo administrada por las fuerzas de ocupación, que la abandonaron después de cuatro años, sin causarle destrozos de consideración, en comparación con los daños sufridos por otras ciudades europeas en esa guerra. Con el presidente François Mitterrand, en la década de los 80 y comienzos de los 90, la ciudad recibió un renovado impulso en su urbanismo e infraestructura. Se renovaron sectores deprimidos de la ciudad, en particular barrios de la rivera izquierda y la Villette; se levantaron nuevos edificios emblemáticos, como la biblioteca, el arco de la Defensa y el Museo de Orsay; y se renovó radicalmente el Museo del Louvre. París tiene un lugar privilegiado en el ámbito artístico y cultural a nivel mundial en los últimos siglos. Aquí han nacido movimientos artísticos como el expresionismo, el surrealismo y el fauvismo e importantes figuras del arte y el pensamiento como René Descartes, Voltaire, Victor Hugo, Émile Zola, Alexandre Dumas (hijo), Edgar Degas, Claude Monet, Jean-Paul Sartre, Jean Renoir. También ha acogido a numerosos artistas extranjeros como Leonardo da Vinci, Vincent van Gogh, Pablo Picasso y a escritores como Ernest Hemingway, Gabriel García Márquez… Además la ciudad cuenta con la mayor aglomeración de obras de arte, repartidas en sus múltiples museos y colecciones privadas. Dentro de estos tesoros el más destacado es la famosa Mona Lisa, una pintura de valor incalculable. Por otra parte el patrimonio arquitectónico de París no tiene parangón en el mundo, ninguna otra ciudad ha levantado tantos y tan valiosos edificios de los más destacados arquitectos universales. La construyó el ingeniero francés Gustave Eiffel para la Exposición universal de 1889 en París. Tiene una altura de 324 metros con un peso (recién construida) de 7.300 toneladas, si bien hoy en día se calcula su peso en más de 10.000 (debido al museo, restaurantes, almacenes y tiendas que alberga en la actualidad). Estaba previsto que la torre alcanzase los 350 metros, pero los vecinos se asustaron (por la amenaza de que un edificio tan alto y construido sin apenas piedras pudiera caerse) y se manifestaron, provocando un cambio de planes. Los 24 últimos metros corresponden a una antena de televisión que fue añadida mucho después. Construida en controversia con los artistas de la época, que la veían como un monstruo de acero, es considerada como el símbolo de Francia y de la ciudad de París en particular. El color original de la torre fue el amarillo, aunque hoy en día no quede nada de él. Según la temperatura ambiental, la cúspide de la Torre Eiffel puede acercarse o alejarse del suelo unos 8 centímetros, debido a la expansión térmica del metal que la compone. Para alcanzar la cima hay que recorrer 1665 escalones (y no 1792, número que algunos toman por cierto en alusión al año 20 de la Primera República). El mantenimiento de la torre incluye la aplicación de 50 toneladas métricas de pintura cada 7 años, para protegerla de la corrosión. En ocasiones, el color de la pintura se cambia, aunque actualmente (2005) la torre muestra una tonalidad marrón. En el primer piso, hay consolas que permiten votar en la elección del futuro color de la estructura. La estructura fue construida entre los años 1887 y 1889 para que sirviera como arco de entrada para la Exposition Universelle, una feria mundial organizada para conmemorar el centenario de la Revolución Francesa. La torre se inauguró el 31 de marzo de 1889, y se abrió al público el 6 de mayo de ese año. Cerca de 200 obreros unieron 18.038 piezas de hierro, usando dos millones y medio de bulones, y siguiendo el diseño estructural de Maurice Koechlin. El riesgo de accidentes en la construcción era alto, ya que a diferencia de los rascacielos modernos, la torre es una estructura abierta sin pisos intermedios, con la excepción de las dos plataformas. Sin embargo, y gracias a las precauciones de Eiffel para con sus operarios (que incluían el uso de arneses), solo uno de ellos falleció durante la instalación de los elevadores. Como anécdota, cabe anotar que el ingeniero francés Gustave Eiffel presentó primero su proyecto de torre a los responsables del Ayuntamiento de Barcelona, para que la torre se construyera en Barcelona con motivo de la Exposición Universal de Barcelona (1888). Pero a los responsables del ayuntamiento barcelonés les pareció una construcción extraña y cara, que no encajaría en la ciudad. Tras la negativa del consistorio barcelonés, Eiffel presentó su proyecto a los responsables de la Exposición Universal de París, que se haría un año más tarde, en 1889. Éstos aceptaron contruir la torre, pese a que en un principio pensaron que la tendrían que desmontar una vez acabada la exposición. Sólo la voluntad popular evitó que se desarmase. Los Campos Elíseos, Les Champs-Elysées, es la mayor avenida de París. Mide 1880 metros de longitud, y va desde el Arco del Triunfo hasta la Plaza de la Concordia. En la parte alta de la avenida, se encuentran cines, tiendas de lujo y grandes almacenes. La parte baja la avenida, que desemboca en la Plaza de la Concordia, está rodeada de jardines y se encuentran varios edificios públicos majestuosos: El Palacio del Descubrimiento («Palais de la Découverte»), el Pequeño Palacio y el Gran Palacio, así como la Universidad París IV. Los Campos Elíseos son parte de eje histórico de París, que se prolonga por el Jardín de las Tullerías hasta llegar al Museo del Louvre. Por el lado opuesto del Arco de Triunfo la avenida de la Gran Armada y la Avenida Charles de Gaulle prolongan los Campos Eliseos. En los años noventa se construyó en este mismo eje el Gran Arco, en el barrio moderno de «La Défense», una especia de versión moderna del Arco de Triunfo, visible desde este último. Los franceses suelen apodarla la más hermosa avenida del mundo («la plus belle avenue du monde»). Su nombre, Campos Elíseos, viene de la mitología griega, que denominaba así a la morada de los muertos reservada a las almas virtuosas, el equivalente del paraíso cristiano. 21 22 Vocabulario útil para el viaje (francés / español) Mots élémentaires / Palabras básicas EXPRESIONES DE TRATAMIENTO Sí Oui No Non Gracias Merci Muchas gracias Merci beaucoup De nada De rien, je vous en prie Por favor S'il vous plaît Discúlpeme Pardon, excusez-moi Hola Bonjour Adiós Au revoir, Adieu Hasta luego À bientôt Buenos días Bonjour Buenas tardes Bon après-midi Buenas noches Bonsoir Buenas noches Bonne nuit Encantado de conocerle. Enchanté (de faire votre connaissance) ¿Cómo estás? ¿Qué pasa? Comment allez-vous? Ça va? Para pedir o preguntar Est-ce que je peux avoir… ? Por favor, quisiera S’il vous plaît je voudrais…. ? Perdón, disculpe Pardon, excusez-moi Lo siento mucho Je suis vraiment désolé(e) NECESITO COMUNICARME No entiendo ¿Cómo se dice esto en francés? Habla usted ... inglés, francés, alemán, español ¿Cómo se llama usted? ¿Cuál es su nombre? ¿Dónde está el baño? Je ne comprends pas Comment dit-on ca en français? Parlez-vous ... Anglais, Français, Allemand, Espagnol Comment vous appelez-vous? Quel est votre nom? Où sont les toilettes? 23 EN LA FAMILIA Une femme, Ùne épouse, le mari La fille, le fils La mère, maman ; le père, papa La esposa El esposo, el marido La hija, el hijo La madre, el padre El amigo (m), la amiga (f) Loisir El televisor La pantalla El mando a distancia El canal Enchufar, conectar ¿Puedo poner la tele? No olvides apagar la tele Baja el sonido Zapear El telediario El periodista El periódico La revista La película La serie Dibujos animados El documental La radio Emisora de radio Grabar Reproductor de CD- DVD Los altavoces El casete La pletina el (la) cantante el ordenador El ratón Dirección electrónica Chats Un e-mail Sitio Un ami (m), une amie (f) Loisir Le téléviseur L’écran La télécommande La chaîne Brancher Puis-je allumer la télé ? N’oublie pas d’éteindre la télé Baisse le son Zapper Le journal télévisé Le journaliste Journal Magazine (revue) Le film La série Le dessin animé Le documentaire La radio Une station de radio Enregistrer Le lecteur de CD- DVD Les enceintes Le magnétophone La platine Le(la) chanteur (se) L’ordinateur La souris Adresse électronique Chats Un mél Site Vamos a dormir Nous allons à dormir La cama La manta La toalla Le lit La couverture Serviette (de toilette) 24 Acostarse Dormirse Tener sueño Estar agotado Estar hecho(a) polvo Estar cansado Es tarde Es temprano Corre las cortinas Cerrar las persianas Mañana por la mañana Apagar – encender la luz ¿A qué hora tengo que poner el despertador? ¿Puede usted despertarme a la siete y media? Se couche S’endormir Avoir sommeil Être épuisé(e) Être crevé (e) Être fatigué(e) Il est tard Il est tôt Tirer le rideaux Fermer les volets Demain matin Èteindre – allumer la lumière Á quelle heure dois-je mettre le réveil á sonner ? Pouvez-vous me réveiller à sept heures et demie? ESTOY ENFERMO/JE SUIS MALADE Estoy pachucho No me siento bien Me voy a desmayar Estoy fatal Me da vueltas la cabeza Tengo (un poco mucha) fiebre Me duele todo el cuerpo Me duele la cabeza Estoy mareado Tengo ganas de vomitar Tengo diarrea Me he hecho daño Me he herido ¿Duele ? sí, mucho El dolor no es fuerte Me he cortado Estoy sangrando Está hinchado Me torcí el tobillo La ampolla Me he quemado la mano, el dedoMe ha picado una avispa Tengo catarro Me duele la garganta, la barriga Estoy constipado (a) Me duelen las muelas, los oidos Je suis patraque Je ne me sens pas bien Je vais m’évanouir Ça ne va pas du tout J’ai la tête qui tourne J’ai (un peu, beaucoup) de la fièvre J’ai mal partout J’ai mal à la tête J’ai mal au cœur J’ai envie de vomir J’ai la diarrhée Je me suis fait mal Je suis blessé (e) Ça fait mal ? Oui, beaucoup La douleur n’est pas forte Je me suis coupé Je saigne C’est enflé Je me suis foulé la cheville L’ampoule Je me suis brûlé la main, le doigt, J’ai été piqué par une guêpe J’ai un rhume J’ai mal á la gorge,le ventre Je suis enrhumé€ J’ai mal aux dents, aux oreille 25 Manger / comer JE ME LÈVE ET VAMOS A COMER JE PRENDS UN BON PETIT DEJEUNER… Los cubiertos La cuchara El cuchillo El tenedor Una taza La servilleta El vaso Les couverts La cuillère Le couteau Le fourchette Un bol La serviette Le verre PERO, ¿QUÉ DESAYUNO? El café El café con leche Un cortado Un sobre de azúcar El Colacao o Nesquick La mantequilla La mermelada Las galletas Los croissanes Bollos pequeños El zumo de naranja La tostada La rebanada de pan Le café Le café au lait Un café noisette Le sachet de sucre Chocolat en poudre Le beurre La confiture Les biscuits Les croissants Les brioches Le jus d’orange Le pain grillé -toast La tranche de pain LE REPAS – LE DÉJEUNER ¡Que aproveche! / Bon appétit ! El primer plato L’entrée Patatas fritas Ensalada mixta Tomate La aceituna La cebolla Atún en aceite Huevo Aceite Vinagre Sal La pimienta El pimiento La mostaza Frites La salade (composée) La tomate L’olive L’oignon Le thon (à l’huile) L’œuf L’huile Le vinaigre Le sel La poivre Le poivron La moutarde 26 El queso El salchichón El jamón (serrano) La sopa Los fideos El ajo Las judías blancas - verdes Los garbanzos Las lentejas Los guisantes La col - la coliflor La berenjena Los calabacines La zanahoria Espinacas Habas Tortilla Pizza, pasta La comida La carne … de vaca de ternera de cerdo de cordero La chuleta El solomillo El bistec El filete empanado El lomo de cerdo Las albóndigas de carne El pollo (asado, a la plancha) La oca El conejo Filetes de ternera gruesos Los mariscos Le fromage Le saucisson Le jambon (du pays) La soupe le vermicelle l’ail les haricots blancs – verts les pois chiches les lentilles les petit pois le choux l’aubergine les courgettes les carottes les épinards les fèves l’omelette Une pâte Le diner La viande …de bœuf … de veau … de porc … d’ agneau la côtelette Le filet Le beefsteack L’escalope (panée) Le filet mignon Les boulettes de viande Le poulet (rôti,grill ) L’oie Le lapin Le tournedos Les fruits de mer Las gambas Las cigalas Los mejillones Les crevettes Les langoustines Les moules El pescado Le poisson La merluza El lenguado El bacalao Le colin La sole La morue 27 La sardina El atún El calamar (rebozado) La trucha El salmón El salmonete La caballa El rape Los boquerones La sardine Le thon Les calamars (frits) La triute Le saumon Le rouget Le maquereau La lotte Les anchois Les desserts et les fruits Les desserts et les fruits Las frutas La naranja El limón El pomelo La clementina La manzana El plátano La pera El melocotón La fresa La ciruela El albaricoque El melón La piña El higo La sandía Las uvas Frutas en almíbar Macedonia de frutas Nata Helado ( de vainilla, de chocolate) Natillas Flan Tarta Arroz con leche Bombón helado La pepita La piel Yogurt natural, de fresa Les fruits L’orange Le citron Le pamplemousse La clémentine La pomme La banane La poire La pêche La fraise La prune L’abricot le melon l`ananas le figue la pastèque le raisin fruits au sirop Salade de fruits Crème fraîche La glace (à la vainille, au chocolat) Crème anglaise Le flan Le gâteau, la tarte Le riz au lait L’esquimau Le pépin La peau Yaourt natural, à la fraise… ES QUE SOY... Vegetariana/ Végétarien 28