BELÉN MAYA

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BELÉN MAYA
Fille de deux grands artistes flamencos, Carmen Mora et Mario Maya, Belén Maya commence ses études de danse à Madrid et se forme au Classique, Classique Espagnol, Jazz, Contemporain et flamenco. Elle part à Séville pour se consacrer au flamenco, dans la Compagnie Mario Maya où, en seulement trois ans, elle passe de corps de ballet à première danseuse et répétitrice. Elle quitte la compagnie pour créer son propre groupe et passe six mois au tablao El Flamenco de Tokyo, aux côtés de grands artistes : Yolanda Heredia, Rafael Jimenez "Falo", Jesus Torres, Alejandro Granados… Au retour du Japon, elle intègre comme première danseuse la toute récente Compagnie Andalouse de Danse. Carlos Saura lui demande de représenter la nouvelle génération dans son film « Flamenco ». Elle est invitée à collaborer avec de grandes compagnies et des spectacles de grands chorégraphes et danseurs, comme Javier Barón, Alejandro Granados, Manuel Reyes, Ricardo Franco, Andrés Marín, Manolete, Goyo Montero et Ramón Oller. En 1996, elle présente avec sa propre compagnie, sa première création LA DIOSA EN NOSOTRAS, avec Teresa Nieto la chorégraphe et le directeur musical Emilio de Diego, lors du Festival de Danse de Sydney, avant de réaliser’une tournée en Australie et Nouvelle-­‐Zélande. En 1997, elle collabore avec Mayte Martín au Festival Grec de Barcelone, union riche qui donnera naissance en deux ans à eux spectacles et à une compagnie commune MAYTE + BELEN et FLAMENCO DE CAMARA. Les deux artistes ont reçu de magnifiques critiques de lieux prestigieux comme le Festival de Jerez (2002 et 2003), le Teatro Real de Madrid, le Teatre Grec de Barcelone, le Festival Otoño de Madrid, le Teatro Central et Lope de Vega de Séville, le Festival de Musique et Danse de Grenade, le Théâtre de la Ville de Paris, le Spai de Barcelone, et le Simphony Space de New York. En 2006, Belén crée de nouveau sa propre compagnie et présente DIBUJOS. Après une grande période d’études avec Juan Carlos Lérida et David Montero, Belén présente SOUVENIR et LA VOZ DE SU AMO en 2007 avec lesquels elle réalise de nombreuses tournées. El Mercat de les Flors la charge du Commissariat, aux côtés de Juan Carlos Lérida, de Flamenco Empírico, premier cycle de Flamenco Contemporain réalisé en Espagne. Elle réalise la direction artistique de HOMMAGE A MARIO MAYA, décédé en 2008, présenté au Festival De Jerez, au Gala de los Giraldillos de Séville, au Festival de Musique et de danse de Grenade, et au Festival de guitare de Cordoue. En 2009, elle présente BAILES ALEGRES PARA PERSONAS TRISTES au Festival de Jerez et au Mercart de les Flores. Elle présente sa dernière création TR3S au Festival Flamenco de Nîmes en janvier 2011, au Festival de Jerez en mars et à Paris au mois de mai au Théâtre de Chaillot. La presse dit...
TR3S ≥ Et c’est Belén dans toute sa splendeur. Fraîche, originale, courageusement géniale dans les alegrías. De fait, elle est certainement l’unique danseuse qui a été capable d’incorporer des concepts de danse contemporaine sans jamais éclipser le flamenco. Intelligence et bon goût exquis. DEFLAMENCO.COM – Estela Zatania. 27/01/2011 Le subtil flamenco de Belén Maya éclaire le final du Festival. MIDI-­‐LIBRE – Agathe Beaudouin. 23/01/2011 Nimes, compás et enchantement. En effet, Tres répond à toutes ces exigences, avec une mise en scène très soignée, une beauté exquise et une expressivité frappante. LA MAJA DESCALZA – José María Velázquez-­‐Gaztelu. 01/2011 La danseuse de Grenade illumine la dernière soirée du Festival. Avec sa nouvelle création Tres, au format très simple, Belén Maya a offert le meilleur spectacle de baile de la quinzaine nîmoise. Du grand art. FLAMENCO-­‐CULTURE – Murielle Timsit. 23/01/2011 BAILES ALEGRES PARA PERSONAS TRISTES ≥ Un langage nouveau, non basé sur les pas ou la technique, mais sur l’expérimentation et la confrontation des idées, des émotions et des sentiments. MARTA CERVERA. ELPERIODICO.COM. 08.10.2010 ≥ Une production créative remplie de réflexions et de nuances sensorielles. Les deux interprètes féminines enseignent suffisamment de caractère pour élever la technique polie à l’expression pure, au niveau suprême du discours artistique. Une proposition novatrice et courageuse qui nous montre l’horizon du flamenco et de la danse contemporaine. Francisco Sanchez Múgica. DIARIO DE JEREZ. 09.03.2010 ≥ Une proposition recommandée, je dirais même indispensable pour les amoureux de la danse. Belen Maya a été et est toujours la pionnière de l’évolution du langage de la danse flamenca. Elle est ni plus ni moins que la figure incontournable pour comprendre l’évolution de la danse de ce siècle. Manuel Moraga. DEFLAMENCO.COM. 09.03.2010 ≥ Incomparable. Maya est celle de toujours, sa personnalité s’écoute de loin, son héritage est intrinsèque, il la marque et il se savoure. Antonio Conde. LA VOZ DIGITAL. 09.03.2010 AUTRES CRÉATIONS ≥ Elle a développé un style si caractéristique, avec des postures géométriques, de surprenants détails avec la robe à traîne ou autres accessoires et œuvres qui poussent les limites de l’ordre établi, et qui à la fois, rend hommage à l’autel du flamenco classique. Les alegrías de Belén, dans toute sa gloire flamenca vêtue d’une robe à traîne rouge. Si d’autres danseuses contemporaines déconstruisent la danse, Belén la déconstruit pour mieux la reconstruire sous nos yeux. La Dame est splendide, dans cette danse qui termine le récital. Estela Zatania. DEFLAMENCO.COM. 2007 ≥ Dans les alegrías, la danseuse déploie tout son talent et sa versatilité, sa profondeur joyeuse et émouvante… Maya brode une création classique personnelle qui, à l’image des plus grandes intemporelles, ne ressemble à aucune autre. Miguel Mora. EL PAÍS. 14.05.2005 ≥ Elle arrive seule. Avec un concept musical “plus centré sur le corps”, mais surtout plus “intimiste”. La recherche incessante de Belén Maya de nouvelles formes d’expression dans le mouvement se résume en quelques mots « la nudité de la danse ». Sa révolte et son indépendance l’ont amené à lutter incessamment pour se démarquer de son héritage flamenco – fille de deux grands artistes flamencos, Carmen Mora et Mario Maya, elle naît à New York lors d’une tournée de ses parents – et créer un style propre, enrichi par “beaucoup de mouvements de bras, des éléments de musique contemporaine et danse hindoue”, entre autres styles. Kenny Cabrera. EL PAÍS. 06.08.2005 ≥ Duo d’amour entre robe à traine et la voix.La danse de Belén Maya est personnelle et forte, sans excès, mêlée à un attrait pour les poses anciennes, ce qu’elle dessine le mieux avec ses bras, où malgré certains jeux géométriques les plus osés, jamais elle se sort des limites scolastiques du genre. Roger Salas. EL PAÍS. 31.10.2003 ≥ Si pleines de grâce.Belén Maya nous offrit une véritable anthologie dans Alegrías, une danse retenue, sans affectation, sans se répéter. La difficulté était grande de danser seule, de faire sortir tant de beauté d´elle-­‐même, et autant d´art. Dans chaque partie du spectacle se trouvait sa signature, sa façon de concevoir le flamenco si personnelle et si attirante. Angel Álvarez Caballero. EL PAÍS. 18.06.2003 
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