Francés Le mot féminisme est entré dans la langue française à partir de 1837, c´est une doctrine que préconise l`extension des droits, o du rôle de la femme dans la société. Ce concept a été forgé en France. Depuis 15 ans la théorie féministe a forge des concepts nouveaux. Les féministes d`aujourd`hui dénoncent le sexisme. Le sexisme est la conséquence de la phallocratie. La phallocratie, est aussi un système qui utilise soit ouvertement soit de façon subtile tous les mécanismes, pour reproduire cette domination des hommes sur les femmes. La condition des femmes dans le passé est difficile a évaluer, l`histoire s`intéresse á la condition passée des paysans et des travailleurs, mais elle a occulté jusqu`ici celle des femmes. Ils recherchent une légitimité au système patriarcal dans les sociétés disparues. Ceci révèle que l`occultation, le plus souvent inconsciente, es l`attitude la plus fréquente du chercheur en sciences sociales. L`ethnocentrisme est un obstacle capital pour l`évaluation de la condition des femmes dans les sociétés observées. Le statocentrisme est un autre aspect de l`ethnocentrisme: il consiste à prendre les normes de sa propre classe sociale pour la norme et à occulter tout ce qui en diffère. C`est évidemment celle que nous connaissons, et qu`elles n`ont pas encore inventé l`écriture. L`étude e ces sociétés nous révèle la dépendance des femmes et des hommes des contraintes économiques et du mode de vie. Le mode de vie est caractérisé avant tout par la chasse et la cueillette. Les femmes se livret surtout à la cueillette, mais elles participent également à la chasse avec les hommes, ils prenaient soin de limiter leurs prévalences aux stricts besoins qui étaient les leurs. Les relations humaines sont caractérisées par l´absence de la guerre, vécurent armés et paisibles, ossement d`animaux tués de leurs armes efficaces, les tombes de ces chasseurs ne fournissant aucune trace de guerre. La condition des femmes dans ces sociétés de chasseurs nomades mais stables socialement ne peut se déduire des conclusions de Lévi−Strauss le Paléolithique est antérieur de dizaines de milliers d`années a l`avènement des sociétés patriarcales et n`en subit pas la contamination qui affecta les sociétés de chasse observées par lévi−Strauss. L´étude des signes pariétaux des cavernes et des statuettes en pierre ou en os trouvées dans les foyers et dans les tombes du Paléolithique donne quelques indications sur la condition des femmes de cette époque. Les premiers signes géométriques pariétaux dessinés il y a 30 00 ans sur les étaient des symboles sexuels pendant 20 000 ans environ. Mais seuls les signes sexuels féminins étaient réalistes. Certains diront que la dominance des représentations féminines n´exprime pas plus le statut d´égalité de la femme que la représentation de la Vierge dans les pays catholiques. Ce raisonnement implique l`ethnocentrisme que nous avons dénoncé. Ainsi la division du travail entre les sexes dans la bande paléolithique est fondée sur la coopération, le lieu de résidence est ambilocal et la descendance presque toujours bilinéaire . Les femmes étant très prisées , les seules statuettes trouvées au cours de cette très longue période ont été des figurines féminines en pierre ou en ivoire aux attributs sexuels fortement marqués. 1 Artistes, hommes ou femmes, de l`époque, et ceci explique que la femme ait pu y jouir d`un statut que l`on s`accorde, au moins dans les pays anglo−saxons, à reconnaître égal sinon supérieur à celui de l´homme. Tous furent surpris, et même choqués, par le pouvoir très grand des femmes dans les tribus iroquoises et dans la Ligue des Six Nations. Les femmes pouvaient aliéner le terres du clan, procéder aux mariages et alliances. Quant aux maris, ils avaient le sort réservé aux femmes dans les sociétés patriarcales : «Du berceau à la tombe, il n´y a aucun moment où il n´est assujetti à quelque femme qui lui impose son pouvoir en vertu de sa position dans la famille étendue ou dans le clan». A mesure que la camp devenait plus sédentaire, que le gibier se faisait plus rare et que la primauté revenait à la cueillette et à la récolte des céréales sauvages dans l´alimentation, les femmes remarquèrent la germination et le cycle de reproduction des céréales. S´ajouta la prépondérance prise par les femmes dans l´invention des techniques nouvelles : fabrication de meules de pierre plus larges et plus lourdes pour moudre le grain, confection de récipients poteries. Plus tard, elles inventèrent le filage et le tissage : «Ces activités furent le couronnement d´une prodigieuse accumulation d´expériences et de déductions, le lieu de rencontre des innombrables fils d´un savoir considérable». CAPITULO 2 : Au Néolithique moyen se produit la deuxième révolution technique qui aboutit à renverser aussi bien l´organisation sociale tout entière que le statut des femmes dans l société. L´homme remplaça la femme comme agent de la production agricole, le champ succéda au lopin de terre, la charrue de l´homme à la houe de la femme. La dégradation de la nature et la détérioration des relations internationales vont de pair avec un abaissement de la condition des femmes et leur enfermement dans la famille et la cité. La chute de l´Empire romain désorganisa les institutions traditionnellement hostiles à l´émancipation des femmes. L´existence des classes moyennes pour les quelques l´enfermement des femmes est signe de confort et de mobilité sociale. Les murs des Germains à l´égard des femmes étaient rudes. Au VIe et au VIIe siècle, les femmes contribuèrent dans la même mesure que les hommes à la fondation de monastères. La forme la plus populaire des monastères au VIIe siècle à la fois en France et en Angleterre était le monastères mixte, dans lequel religieux et religieuses observaient une règle commune et obéissaient à un supérieur commun. A la fin du VIIIe siècle, Charlemagne (742−814) interdit que religieuses et chanoinesses instruisent les garçons dans leurs couvent. Charlemagne maintint la tradition antécarolingienne de confier aux reines le ministère des finances et l´administration des domaines de la royauté. Les épouses des empereurs barbares furent aussi des diplomates, des artisanes de la prix, des fondatrices d´écoles et des misions chrétiennes. 2 Les femmes de toutes les classes sociales obtinrent le droit d´hériter en peine propriété les biens immobiliers et de les aliéner à leur guise sans autorisation paternelle ou maritale. En Espagne, en France, en Germaine, le cinquième des terres appartenait à des femmes. Les femmes, abbesses, reines et princesses, promeuvent la religion catholique, soit par l´éducation ou soit en convertissant leurs maris et leurs sujets, car elles voient dans le christianisme un ferment de l´amélioration de la condition des femmes. Xe et XIe siècle, quand on examine cette période, il semble qu´il n´y eut aucune barrière effective aux pouvoirs des femmes. Elles apparaissent comme des chefs militaires, des juges, des châtelaines, ayant l´entière disposition de leur propriété. Les femmes épouses, sur ou filles de rois et de princes exerçaient des pouvoirs étendus. Les souveraines du Xe siècle n´hésitaient pas à invoquer le droit de contrôler l´Eglise en alléguant leurs droits de propriété. XIIe au XIVe siècle. L´Eglise élimine les femmes des fonctions élevées qu´elles y remplissaient. L´accès dans l´Eglise est interdit aux filles qui continuent leur éducation dans les couvents. Ce clivage éducatif est invoqué par les hommes pour éliminer les femmes des professions libérales. Les femmes subissent une diminution énorme de leurs anciens rôles, mais elles résistèrent vaillamment en essayant de créer une contre−culture et d´autres pratiques sociales que les pratiques admises. Les femmes paysannes et les petites artisanes des villes furent très nombreuses dans les mouvements de révolte paysanne et dans ceux des villes, et exerçaient parfois des fonctions de leaders. Au sein de l´Eglise, l´Inquisition s´illustra en envoyant au bûche plusieurs dizaines de milliers de femmes, accusées de sorcellerie. Les sorcières étaient accusées d s´attaquer à la puissance sexuelle des hommes, au pouvoir reproducteur des femmes et de travailler à l´extermination de la foi. Au XIVe siècle, en France, « on assiste à une dégradation progressive et lente de la situation de la femme dans le ménage, elle perd le droit de se substituer au mari absent ou fou. À partir du XIVe siècle, l´Etat impose la transmission du nom du père. En France, au XVIe siècle, la femme mariée devient une incapable et tous les actes qu´elle ferait sans être autorisée pour le mari ou la justice seraient radicalement nuls. XVe siècle, le traité du Ménagier de Paris (1498) définit que les filles devront être préparées à leurs futurs rôles domestiques et tout sera fait pour le confort du mari. Les femmes peintres ou musiciennes signaient généralement leur création du nom de leurs maris ou de leurs frères. Ainsi de Marguerite Van Eyck qui peignait une partie des tableaux de ses frères, seuls connus de l´histoire. XVIe siècle, 16% des familles étaient dirigées par des femmes. Ce ne fut pas sans courage car, à l´époque, les femmes vivant en célibataires étaient les premières à être accusées de sorcellerie. En France, des femmes bourgeoises, protestent avec vigueur contre les nouvelles normes d´enfermement des femmes. Le féminisme avait pris son essor avec l´apparition de la Renaissance. 3 CAPITULO 4 La concentration de la richesse dans un continent et la paupérisation des autres, la traite des esclaves détériorent rapidement la condition des femmes asiatiques ou africaines. En Occident, la condition des femmes ne s´améliora pas pour autant. Pour les femmes de la grande bourgeoisie et des classes moyennes, écartées de la production marchande valorisée, s´aggrava l´écart de leur condition avec celle de leurs maris. Les femmes « oisives » de la haute et moyenne bourgeoisie deviennent l´objet du mépris masculin. Des professions déjà contestées aux femmes dans certains pays depuis la Renaissance comme la médecine ou la chirurgie leur furent ravies partout. Exclues des guildes et des corporations, elles se réfugièrent dans l´industrie textile où elles conservèrent le filage. Au XVIIIe siècle, on réservait aux femmes les emplois les plus mal payés. On s´efforce d´enfermer les femmes dans les rôles domestiques et éducatifs. La résistance à l´enfermement se produit dans les classes dominantes, mais elle touche aussi tous les milieux sociaux. Dans la noblesse ou la riche bourgeoisie, des femmes n´acceptent pas la limitation de leur rôles. Ainsi apparaissent « les bas bleus » du XVIIe siècle qui animèrent les salons littéraires d¨Europe. D´autres participèrent à des luttes politiques. Opprimées en tant que second sexe dans la société anglaise, des femmes trouvèrent leur émancipation en émigrant dans le Nouveau Monde. Au début de la colonisation, l´Assemblée de Virginie accorda des terres aux femmes comme aux hommes. En Angleterre, ce siècle fut qualifié de « terne » pour les femmes, mais l´innovation féminine existe dans toutes les classes sociales. Mary Wollstonecraft publia en 1792 un essai féministe, A vindication of the rights of women, dans lequel elle s´insurge contre la doctrine de Rousseau, l´attitude des révolutionnaires français et des bourgeois de tout pays qui privent les filles de l´égalité d´éducation avec les garçons. Elle lance ce message féministe qui est encore celui des féministes d´aujourd´hui : « Il est temps d´effectuer une révolution dans les murs féminines, il est temps de redonner aux femmes leur dignité perdue et de les faire contribuer, en tant que membres de l´espèce humaine, à la réforme du monde ». Le marché du travail se rétrécit encore pour les femmes du XVIIIe siècle, et, dans les manufactures anglaises, elles sont obligées d´accepter les travaux les plus durs et les plus ml payés. Les femmes de milieux populaires jouèrent un rôle considérable de préparation et de soutient de la Révolution française aussi bien à Paris qu´en province. Les femmes de classes moyennes fondèrent des clubs où elles se retrouvaient à égalité avec les hommes pour soutenir la Révolution. D´autres organisèrent des clubs uniquement féminins. La distorsion était trop grande entre ces idéaux inculques aux hommes et les principes de soumission et de 4 domesticité imposés aux femmes et dont J.−J. Rousseau fut le porte−parole le plus éminent. Dès lors, le terrain devient encore plus propice qu´aux siècles précédent pour les luttes féministes. Les femmes du XVIIIe siècle ajoutent le refus de la double morale sexuelle, la revendication des droits et l´idée que la libération des femmes est aussi celle de toute la société. C´est au XVIIIe siècle aussi que les femmes perçoivent le divorce entre le langage révolutionnaire des hommes politiques et les refuse de considérer les femmes comme des citoyens à part entière. Le XIXe siècle est celui d´un capitalisme « sauvage » qui s´étend aux dimensions de la planète. Dans cette concurrence acharnée qui ne connaît pas de freins, le capitalisme concurrentiel ne peut survivre qu´en s´appuyant sur « l´accumulation permanente de base ». Nous entendons par là qu´à travers toutes ses péripéties le capitalisme ne peut se maintenir qu´en ajoutant, à l´accumulation résultant des profits prélevés sur la production marchande, une accumulation « permanente » qui s´alimente dans la production non marchande. Bien plus, le seconde est la condition nécessaire de la première : c´est en effet par leur production domestique non marchande que les femmes reproduisent la force de travail de leur mari et de leurs enfants que ceux−ci peuvent vendre sur le marché du travail. Les femmes exercent gratuitement le rôle d´un imprésario payé très cher dans le secteur marchand. La production domestique n´est d´ailleurs qu´un aspect de la production non marchande des femmes. Pour les femmes des ouvriers qui n´avaient pas pu accéder à la petite propriété, il restait le travail en usine, toujours contesté et payé aux plus bas prix. C´est dans ces conditions que l´idéologie de l femme au foyer atteignit son apogée. Si la discussion sur le « travail féminin » s´est engagée au XVIe siècle, c´est au XIXe siècle que l´unanimité se fait contre lui. Le travail des femmes dans les manufactures n´était qu´un « travail d´appoint », que leur salaire était un « salaire d´appoint », il n´y avait qu´un pas qui fut allégrement franchi. On ignorait systématiquement que 40 à 50% des femmes vivant à la ville étaient célibataires et n´avaient que leur force de travail pour subsister. Faute d´emploi, beaucoup recouraient à la prostitution. Dans ces conditions, rien de surprenant que les femmes de toutes conditions se soient révoltées. Après les journées de février 1848, auxquelles les femmes participèrent en grand nombre, l´activité féministe se déploie dans de multiples directions. On y réclame le droit de vote et d`éligibilité pour les femmes. Les femmes réclament aussi leurs droits économiques. On leur oppose une fin de non−recevoir et, lasse d l´activisme des femmes, l´Assemblée nationale leur refuse leurs droits politiques et vote l´interdiction faite aux femmes d´être membres ou de participer aux réunions des clubs. Cependant ne victoire est à l´actif des femmes, le droit au travail. En France, il s´était enrichi d´un féminisme populaire qui trouvait ses porte−parole dans les femmes de la petite et moyenne bourgeoisie, bref dans des femmes ayant un niveau d`instruction élevé. C´est pourquoi Karl Marx, Engels et lebel ne voient l´émancipation des femmes que comme une conséquence de celle du prolétariat. 5 Mais les femmes ne se laissaient pas abattre par le sexisme des ouvriers on des syndicalistes. Ou bien elles se mettaient en grève quand leurs propres intérêts étaint en jeu, ou bien elles formaient leurs propres organisations de défense, en Europe comme aux Etats−Unis, les femmes ouvrières réussirent á imposer leur droit à l´emploi par lurs lutes obstinées à l´extérieur et à l´intérieur des syndicats. Les associations féminines lièrent leur activité internationale á la lutte pour la paix. Il s´agit là d´une composante essentielle de l´activité féminine à travers les âges. Né en France dans la première moitié du XIX siècle, le féminisme populaire est principalement soutenu par les femmes des classes moyennes et par économiques des femmes, et reposait sur le postulat que ces droits seraient obtenus d´abord par la lutte des travailleurs pour une société socialiste. Les revendications des féministes concernaient surtout le changement ou l´abolition du mariage, le droit des d´une législation sociale protectrice des femmes et des enfants en dehors du mariage, c´est à travers la presse féminine que s´exprime le mieux au XIX siècle le féminisme des femmes des classes moyennes qui font appel aux femmes et non aux hommes es pour leur libération. L´accès à tous les niveaux a été une grande conquête des féministes du XIX siècle. Capitulo 6 Au début du XX siècle, de nombreux thèmes développés depuis le Moyen Age se son implantés dans la conscience féministe occidentale : L´idée exprimée en France au XIV siècle et au XVIII siècle que les différences entre hommes et femmes proviennent non pas de la nature, mais de l´éducation différente des deux sexes et que l´accès des filles à l´instruction doit les préparer à assumer tous les rôles interdits par la société. La protestation contre la mort civile de la femme dans la famille et son éviction des fonctions économiques et politiques, au XVI siècle en France, au XVII siècle en Hollande et en Angleterre, au XVIII siècle en France, avant et pendant la Révolution et au XIX siècle chez la plupart des féministes d´Occident. Les refus de la double morale sexuelle au XVII siècle par les Anglaises et au XIX siècles par les saint−simoniennes et les féministes de l`icw. L´idée de la libération des femmes ne pouvait être que l´uvre des femmes. Le droit de la femme au plaisir en dehors du mariage, revendiqué au XIX siècle par Claire Demar et les saint−simoniennes, la libération des femmes est inséparable de la libération de tous les travailleurs. La nécessité pour les femmes d´élargir leurs luttes aux besoins de la société tout entière. La période précédant la première guerre mondiale. L´International Council of Women (ICW) continua á lutter pour l`obtention des droits économiques, familiaux et politiques des femmes. Les militantes de la section française du icw se répartissaient en commissions spécialisées étudiant tous les problèmes des femmes dans la société. Des ouvrières, des aristocrates comme la duchesse d´Uzès ou des grandes bourgeoises. Pendant la première guerre mondiale , les femmes furent embauchées en très grand nombre dans les furent embauchées en très grand nombre dans les usines d´armements française, anglaises, etc., pour y remplacer les hommes appelés au combat. On oublia alors la distinction des rôles masculins et féminins et le principe de la mère au foyer ; la garderie des enfants fut facilitée, Les femmes bourgeoises se mobilisèrent, pur soigner les grands malades, rechercher les disparus et assister les prisonniers, etc. les dirent passer au premier plan la lutte pour la pais, exigea la création d´une organisation internationale en vue de restaurer la paix. Pendant la 6 première guerre mondiale, les féministes de l´icw organisèrent une conférence internationale à la Hague. L´entre−deux−guerres. Après la première guerre mondiale, le droit de vote fut obtenu par les femmes de 21 pays. Les grandes organisations féministes comme l´icw et l´iaw se consacrèrent alors à la prévention de la guerre et à la défense des droits des travailleuses et des femmes. Ces deux associations se regroupèrent à Genève au sein du comité uni des organisations représentant, là dives de femmes ; Ce Comité agit comme groupe de pression auprès de la Société des Nations et du bit pour développer les relations internationales, promouvoir la paix, abolir la prostitution, améliorer la santé et le bien−être es enfants, l´éducation , et les conditions de travail et de salaires des travailleurs. Dans toute l`Europe, des femmes sauver par leur participation á la lutte antifasciste l`honneur de leur pays. En France, trois femmes mortes pour leur participation á la Résistance, symbolisent l´héroïsme dans la Résistance de milliers d´autres Françaises, appartenant à toutes les opinions politiques ou religieuses. La condition des femmes dans l´après−guerre. La fin de la deuxième guerre mondiale voit le retour en masse des hommes et leur recyclage du militaire au civil. Dans les pays occidentaux, les hommages ne manquèrent pas d´être rendus aux femmes pour leur contribution à la résistances contre le fascisme et à la production. En France, les femmes étaient trop absorbées par la lutte anticolonialiste pour reconstituer les mouvements féministes d´avant−guerre, des femmes travaillèrent sans relâche à remplace la guerre par la négociation avec ceux qui dirigeaient la révolte contre le colonialisme français en Indochine et en Algeire. Il y eut d´innombrables femmes pur organiser de grandes manifestations et des grèves pour la paix en Indochine et en Algérie, des intellectuelles et des journalistes du grande valeur qui firent connaître la vérité sur la condition faite au peuple d´Indochine ou au peuple algérien. De brillantes avocates défendirent avec courage les nationalistes algériens devant les tribunaux. Germaine Tillion, organisa la lutte contre le sous−développement algérien et assuma la très dangereuse mission demandée par le gouvernement français des premiers casbah d´Alger. Les média ne sortirent de l´ombre que le rôle héroïque de Geneviève de Galar assistant les blessés français de Dien Bien Phu, car il s´agressait là d´un rôle constructifs des femmes en faveur de la vérité et de la négociation. Cependant l´espoir que les femmes obtiendraient finalement leurs droits existait chez les françaises depuis que Simone de Beau voir avait écrit en 1947, le Deuxième Simone affirmait avec force sa conviction que ce n`était pas la nature qui limitait les rôles féminins mais un ensemble de préjugés, de coutumes et de lois archaïques dont les femmes étaient plus ou moins complices. Il se situe dans la lignée de la philosophie personnaliste qui inspira les premières féministes de l`icw et du CNFF. Simone de Beau voir insistait sur la nécessité pur les femmes d`exercer une profession afin de conquérir l´indépendance économique. Elle allait inspirer la lutte féministe des fondatrices américaines et françaises des mouvements de libération des femmes. En résume, au cours des vingt années qui suivirent la seconde guerre mondiale, les gouvernements des pays développés de l´ouest comme de l´est ne se départirent pas de leur conception instrumentale des femmes : la société n´existe pas pour développer les potentialités des femmes, mais celles−ci existent pur les besoins de production et de reproduction de la société. On les utilise en temps de guerre dans la production et dans l´armée, mais on les renvoie au foyer quand on n´a plus besoin d´elles. Simone e Beau voir avait dit que la libération des femmes commence au ventre. Dés lors une grande bataille fut engagée par les femmes pur mettre ces moyens au service de totaux les femmes et que soient abolies les législations répressives encore en vigueur dans la plupart des pays. L´histoire des femmes est d´abord celle de la mise en place de leur répression et de l´occultation de celle−ci. Car l`occultation fait partie de la répression : l´historie des femmes ne commence á émerger du silence que depuis que des féministes des Etats−Unis, d´Angleterre et d´Europe continentale essayent de le briser et d´explorer un passé qui n´a pas fini de nous étonner. 7 La répression des femmes débuta il y a environ 8000 ans quand, au début du Néolithique moyen, l´agriculture a la charrue remplaça l´agriculture a la houe, la chasse et la cueillette comme modes principaux de production. Cette répression se pour−suit aujourd´ dans les pratiques des sociétés contemporaines toujours bâties sur les mêmes impératifs que le société du Néolithique moyen. DÉFINITION : C´est un mouvement social, avec de répercussions politiques, juridiques et culturelle, dirigées par les femmes, en faveur de l´égalité de droits avec l´homme dans tous les champs et les formes da relation entre les deux sexes, pour que la femme aime le statut égal et la liberté que l´homme décider sa vie propre. Elle se bat en opposition avec l´argument masculin idéologique les femmes aucun ne peut les hommes ne devoir pas même être traité comme, depuis pour si la différentiation sexuelle son papier principal doit assurer la reproduction biologique et perpétuer la famille, pour ce que son des rôles sociaux doivent être différents. Ces considèrent la différence sexuelle être la différence biologique qu`il place à la femme dans une position d`infériorité sociale justifiée par sa nature propre. Le féminisme peut être défini de deux voies : • Dans le sens strict, c`est un jeu des idéologies politiques qui soutiennent l´égalité de la femme, la fin de la théorie de sexiste et de l´oppression féminine sociale. • Dans une analyse plus profonde, c`est une variété des études été en corrélation qui se consacrent pour observer, analyser et interpréter les formes différentes en lesquelles les desigualites de sorte est construit et ils sont imposes et manifestent dans toutes les institutions, pour qu´ils soient présents dans tous les détails de la vie quotidienne. Le rapport du féministe d´argument est que la situation actuelle supporte le patriarcat. Le long de sa existence, le féministe de pensée et son des études respectives ont été concentrées de trois perspectives différents : • Libéral Comme le libéral a pensé surgit en Europe dans la période de l`Illustration et soutient que les problèmes sociaux de la femme doivent à eux à l`ignorance et aux obstacles pour choisir son des activités et le mode de vie librement. Les desigualités de sorte, est fait comprendre comme le résultat des processus de socialisation qui forcent les gens de cultiver avec l`idée déformée et nuisible cela apporte de ce qu`elle doit être un homme et une femme et ils sont dictés par la forme en laquelle ils doivent vivre, limitant sa liberté de choisir d`autres options de vie avec l`égalité des chances que l`homme. La solution est dans changer ces idées et pratiques de la culture à travers l`action de récrire des textes scolaires, la réformation des lois et de la suppression de cette discrimination. Quoique cela c`est la pensée qui prévaut dans la majorité des pays industrialisés d`aujourd`hui, cela critique le manque d`une analyse historique qui explique l`origine de l`inégalité de sorte ou une étude sociologique dans un grand contexte institutionnel. Au lieu de cela ils consentent, comme un fait ce qui arrive dans les sociétés patriarcales comme le capitalisme, le militarisme, des systèmes défavorables, compétitifs et hiérarchiques légaux. Ils ne voient pas dans ces systèmes que l`origine du problème de la femme, mais le manque d`accès des femmes occupe une position à l´intérieur d´eux. De cette voie les femmes se battent seulement pour réussir à être des leaders politiques, militaires ou d´entreprise et ne percevoir pas comme dignement d´un féministe a´analyse à la guerre ou le système capitaliste. • Marxiste Une connexion constate que la raison−effectue entre le capitalisme et la subordination patriarcal de la femme. De cette approche, les femmes sont une classe exploitée par son des conjoints dans la famille et pour les employeurs à l´intérieur du marché du travail, étant donné les salaires qu´ils perçoivent dans le domestique sans aucune rémunération ou seulement en échange de la nourriture; dans le secteur se travail 8 les femme sont une main d´uvre on marché, particulièrement s`ils travaillent le temps partiel, puisque l`on les voit comme des femme et des mères le revenu est un complément du salaire du mari, pour ce qu´il n´est pas pourquoi ils de payer plus. Selon cette approche, la condition d´exploitation et l´oppression de la femme qu´il a été faite permanente du début de la division du travail et sa soumission atteint les sphères politiques, socialement et culturellement, pour ce qu´une relation étroite existe entre les luttes pour sa libération et ceux qui se battent pour une nouvelle organisation de la société. La critique la plus forte à cette position est cela ignore le fait que le patriarcat on a surgi des milliers d´années avant cela le capitalisme et donc, celui−ci ne peut pas être une explication de l´exploitation de la femme; de même, cela ne prend pas dans la facture que dans des pays socialistes comme la Chine et l´Ex−union Soviétique aussi la domination de l´homme apparaît sur la femme. En tout cas, le capitalisme récupère à un papier important à l´intérieur du patriarcat traditionnel où la prédominance masculine prend sa forme au moyen du contrôle de la terre et des moyens de production à l´intérieur le familier des fermes. Néanmoins, à l´intérieur du capitalise industriel les gens ne possèdent ni pays productifs, ni ressources économiques, pour ce que cela cherche d´autres façons d´exercer l´autorité, puisque cela peut être le contrôle de l´emploi, des salaires et familier le revenu. Cette circonstance a aussi des conséquences négatives pour les hommes. • Radical Cela est apposée tant aux arguments libéraux qu´aux marxistes et l´allègue la discriminations de la femme ne doit à lui ni à l´ignorance, ni au manque de liberté ou le système capitaliste, mais c´est un produit des efforts communs des hommes pour dominer, contrôler et exploiter la femme. Le problème central est d´avoir affaire comment cela produit et contrôle la subordination de la femme à lui. De même, comment à travers la majorité des institutions sociales la domination masculine permet de les renforcer ces attitudes collectivitément. Donc, la position radicale perçoit que le capitalisme, le taux militaire, les hiérarchies, etc., sont les manifestations des valeurs et des croyances essentielles du patriarcat un et des véhicules au l´obsession pour le hétérosexualité et l´organisation de la famille traditionnelle comme les moyens féminins de la dépendance et de la soumission. Ils reconnaissent la sexualité comme le centre de l´oppression pour ce qu´ils concentrent sa attention dans des questions comme le contrôle du taux de naissance, l´exercice libre des préférences sexuelles et la violence sexuelle. Une des critiques principales à ce point de vue, est cela ignore les tendances inhérentes de l´homme vers la domination et l´agression; il ne considère pas aussi les variantes des conditions des femmes selon son etnia, la course ou la classe sociale, aussi bien qu´une analyse qui devrait impliquer des perspectives multiples. Le féminisme est une réponse aux conditions de vie de la femme: sans droit de voter, cela en se tient aux lois que cela n´a dû obéir sans aucune possibilité de participation dans la production des mêmes, sans contrôle légal de son aux propriétés, soumises aux décisions de son mari et sans aucune occasion d´éducation au−delà du niveau de base et certainement, d´emploi différent des travaux domestiques. Il a été totalement soumis et le vendeur de l´homme, déjà il est un père, le frère, le mari u les fils; limité à la maison et sans un autre perspective que le mariage et les enfants. LES ORÍGINES DU FÉMINISME Quelques auteurs placent les origines du féminisme dans les conditions a joint les années soixante, le période que marque là l´époque moderne du même, mais d´autres disent aux situations précédents qu´ils ont résulté des années dernières du Moyen Age et pendant la Renaissance où des auteurs courageux ont condamné l´environnement produit des idées de la Contre−réforme Catholique et ont traité avec l´identité sociale de la femme et avec sa exécution dans la vie politique. 9 Le début du féminisme est placé, en France a la fin du siècle XVIII, en forme simultanée à la Révolution Française quand Felicité de Keralió (1789) présente à l´Assemblée Constituante le premier « Calepin de Plainte contre les Femmes » et deux ans plus tard, Olimpie de Gouges (1791) écrivent la « Déclaration des Droits de la Femme et le Citoyen », à condition qu´une autre Déclaration ait été pour les hommes et pas les femmes. Gouges étaient une promoteur très actif qui cherchait l´égalité de droits d´intervenir dans la formulation de lois, en forme directe ou indirecte t aussi c´était l´organisation un de cercles féminins, des clubs comme ceux de Robespierre , le motif par lequel cela était guillotineuse en 1793; avant qu´elle n´ait dit: «Si la femme peut se lever à la plate−forme, aussi cela a le droit de venir à l´Assemblée». Le féminisme y a ressemblé, le résultat de prolonger le libertaire idéal, igualitarian et les réformistes de la class moyenne, aux ouvriers et finalement à la femme. Aux Etats−Unis pendant le siècle XIX, les femmes ont promu des campagnes dans la recherche du rétablissement de son des lois constitutionnelles au moyen des prospectus, des livres et des conférences et ont assumé une position en faveur de l´abolition de l´esclavage. Pour ces femmes ce n´était pas une question d´obtenir seulement le suffrage, mais de lutte pour l´égalité juridique et le droit de l´éducation, le travail et l´administration de son des marchandises propres. Les intentions tout qui, dans l´age du bled de libéralisme burgueuse, pourraient seulement être réalisés au moyen de la pleine participation politique dans les institutions parlementaires et qui, dans la conséquence, a soutenu la formation de nombreuses associations suffragists. Le 19 Juillet 1848, la place prend dans des Seneca Falls, New York, le premier féministe de convention. Deux cents femmes ont approuvé la «Déclaration du Sentiments», dans lesquels ils critiquaient à peine sa situation de subordination dans la société et fundamentelement, l´absence du droit de vote. C´et oit le premier rétablissement public des voix, qui a transformé cette déclaration en mythe pour le mouvement suffragist. Avec 14ª des dédommagements constitutionnels, compris après la Guerre Civile, cela a accordé vote aux anciens esclaves, mais pas aux femmes, qui ont motirées l´apparition de nouveaux mouvements, comme le Suffrage de Femme National Association, fondé par Cady Stanton y Susan B. Anthony et le Suffrage de Femme Américain dirigé par Lucy Stone. La première association a été concentrée sur la lutte par le vote féminine dans le niveau fédéral; le deuxième, battu dans le secteur local ou moyen du referendum et réalisé son premières victoires en Etats, cela a permis beaucoup de décennies plus tard, qui a été choisi au Montana le premier nord−américan Congressmember Janette Rankin (1971), quoique le vote féminine n`ait pas existé au niveau fédéral. Dans d`autres pays le féminisme a aussi commencé à manifester. En 1865, Louise Otto−Peters a fondé l´Association Général de Femmes Allemandes, que l´intention était l´amélioration morale et la professionnel des femmes, qui ont été surmontées à August Badel beaucoup plus de positions radicales sous l´influence de la pensée de Marx, Engels, et particulièrement, de Fourier, pour que ce féministe de socialisme ait été commencé pour développer à l´intérieur de la Partie Sociale−Démocrate. En 1866, John Stuart Mill a présenté avant la Chambre des Communs de l´Angleterre une demande en faveur du vote féminin et depuis la réponse à son rejet un organisé l´année suivante la Société National pour le Suffrage de la Femme dirigé par Lydia Becner. Dans les années suivantes, cette association l´a réalisé la Chambre des Communes approuvait le vote féminin, mais cela a laissé tomber avant l`opposition conservatrice de la Chambre des Connaissances. En même année de 1866, cela la France jointe la Société pour la Reivindicatión des Femmes, qui a disparu avec la défaite de la Colonne de Paris et a été remplacée par la Société pour l´Amelioratión du Sort de la Femme, moins de radical dans son des expositions. En 1878, le premier congrès est compris à Paris le féministe international et plus tard, plusieurs organisations surgit avec le même but. 10 En 1884, l´auteur mexicain Laureana Wright fonde le magazine « Les violettes d´Anahuac », dans où le suffrage a été exigé à la femme et l´égalité d´occasions pour les deux sexes. En 1890, tant le grand nord−américain d´associations des féministes existants, unifiez que prolongez sa lutte à la nation entière en faveur du vote de la femme et son accès à l´éducation et au travail professionnel. En 1895, la Partie allemande Sociale−démocrate qu´un mouvement a présenté au Reichstag en faveur du suffrage féminin qui n´a pas triomphé, mais si cela a motivée la prolifération des associations de toutes les sortes qui se battaient contre le vote de la femme, qui a supposé un changement d´orientation vers plus de positions modérées, puisque le féministe de mouvement est tombé dans les mains de femme de la classe bourgeoise. Des situations analogues ont été enregistrées aussi dans d´autre refiones et deux pays pas les Européens étaient les premiers dans l´octroi du suffrage féminin : la Nouvelle−Zélande en 1883, et l´Australie en 1902, qui a été suivi par la Finlande pour 1906, la Norvège pour 1913, le Danemark et l´Islande pour 1915. Après la Deuxième Guerre Mondiale, en plus de la France (1946), on a accorde les femmes au vote dan la mayorité des pays du monde, comme l´Inde (1949). Après la subvention des voix a la femme, le féministe de mouvement a semblé retenir. Néanmoins, le droit de voter loin d´avoir soit la fin de la guerre des femmes, cela était le début d´autres formes de revendication d´équité, particulièrement de la decemie de années soixante. Simone des livres de Beauvoir en France, pour qui la libération de la femme signifiants aussi la libération de l´homme et de Betty Friedan aux Etats−Unis, qui ont dénoncé le conditionnement de la femme pour accepter le fait d´être passif et la dépendance, a marqué l´apparition du féminisme actuel avec de nouvelles perspectives. Le contrôle du taux de naissance et la révolution sexuelle des années soixante a donné a de nouveaux buts au féminisme et a permis l´émancipation de la femme dans son papier traditions de mère et la femme. En 1975 l´Organisation des Nations Unies proches a la déclaré la Décennie de la femme, avec lequel le féministe de mouvement l´échelle mondiale atteinte. Le féministe du mouvement a agi comme une force indépendante politique dans beaucoup de pays, mais aussi il a été affilié à plusieurs parties et des groupes politiques; il a intervenu dans des réformes comme le droit féminin de voter, l´autorisation de l´égalité de droits sans distinction de sexe, des changements sociaux et économiques comme les libres accès a la plupart d`éducation supérieure, la réduction ou l´élimination de préjudices professionnels et la large diffusion de technologies contraceptives. Cela a dénoncé aussi les stéréotypes de la femme qui transmet les moyens massifs et cela renforce sa domination, a réalisé feminizar le morphologies à partir des langes et a battu pour une participation féminine politique principale et pour l´accès le plus large des femmes aux charges gestionnaires dans la politique, dans le gouvernement, dans la société et dans tous les champs de l´activité humaine. OÙ LE FEMINISME EST EN FRANCE MAINTENANT ? Le féminisme français est paradoxal. Sa influence est relativement grande ; son les structures, d´autre part, son faibles. Et celui−ci est une caractéristique déjà antique qui dure et soûler une question sur sa voie d´action. Il y a une quantité féministes d´associations, peut−être une douzaine. De l´époque héroïque de années 1970−1975, presque la seule chose qui les séjours sont « choisir », des remerciements a Gisèle Halimi. Les dialogues de femmes cela les fins de se dissolvent après vingt ans de débats mensuelles. Sans retourner jusqu´ici loin, la plupart des associations qui avaient été crénées pour promouvoir les parités ont été dissoutes, depuis avec la modification de la Constitution ils ont considéré sa mission être accompli, sauf l´Assemblée de 11 femmes (la sphère d´influence socialiste, Yvette Roudy), qui pendant quatre ans organise une université d´été. Néanmoins, il pourrait mentionner le CADAC (Cordination Nationale des Associations pour le Droit à l´Avortement et à la Contraception) ; les Marie pas claires ; l´Association des femmes journalistes, qui mène une campagne vigoureuse contre le sexisme dans la presse et la publicité au moyen de la subvention annuelle d´un prix a la moindre partie de publicité de sexiste ; le « Réseau pour la mémoire de femmes », cela inquiète pour les moyens du rappel la place des femmes dans la ville et dans la chronologie, etc. Aussi il y a les associations les plus antiques qui développent une action très le féministe, comme l´AFDU (Association des femme diplômées des Universités), fondé vers 1920, qui a affaire aujourd´hui avec le desigualité dans les enregistreurs scientifiques d´armée et les effets pervers du caractère mélangé des institution , etc. Cela, sans compter des associations locales. Le féminisme inspire des magazines divers : Nouvelles Questions féministes (Christine Delphy) ; Cahiers du GRIF (Françoise Collin) ; Clio, le magazine fondé en 1995 pour historiens ; Lunes (la première année, numéro 1, la fin de 1999), avec information abondante de toutes les sortes, etc. Le féminisme inspire une assez grande quantité de colloques scientifiques et politiques. Le 8 mars de chaque année cela est (et cela était particulièrement en 1999) l´occasion pour des colloques, des débats ou des conférences de sujets recomptés aux femme et paix, dans Rouen su « femmes et la seconde millenium », etc. En général, ils assemblent un très nombreux public. Finalement le féminisme est capable de provoque des mobilisations concrètes : cette voie, en novembre 1995, la manifestation étroitement de 30.000 femmes a París, a lequel alors on a su un signe premonitora des mouvements sociaux de décembre. Cela fait très petit, les féministes ont organisé le boycott aux Galeries Lafayette que présenter les vêtements intérieurs de Chantal Thomas, avait monté les vitrine de mannequins vivant, que finalement ils ont déi résigner. Cela illustre la nature la nature du féminisme actuel : gardien, acosionel , latent. Mais l´action la plus importante des années dernières été celui du mouvement pour les parités (1990 et après), qui a cédé la place a u débat réel dans la classe politique, dans la société et dan la poitrine lui−même de féminisme. Après les débats parlementaires, cela a abouti a une modification de la Constitution. Aujourd´hui un Observatoire des parités existe pour s´approcher des mesures ayant tendance auquel c´est une réalité concrète. De cette chance, le féminisme, malgré sa faiblesse organisationnelle et une certain difficulté de transmission dans la nouvelle génération (Je ne suis pas un féministe, mais, dis que les filles que n´ont pas expiré toujours les 30 ans), il ne s´arrête pas étant une force latente, capable de mobilisations éventuelles et d´une aspiration qu´il a contribuée a la transformation et le débat dans la société française. 12