L'Opéra Bastille

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Opéra Bastille
En 1989, le bicentenaire de la révolution française a été marqué par l'inauguration projet d'Opéra de Bastille,
de Mitterand d'animal de compagnie et sujet de l'ordre le plus virulent les conflits et les démissions
de n'importe lequel de ces projets de grands. Remplir presque bloc entier entre les rues De Lyon, Charenton,
et Moreau, ceci bloated le bâtiment a totalement modifié l'endroit de la Bastille. Colonne de
Juillet, qui commémore la révolution postérieure de juillet de 1830, n'est plus une borne limite pivotale; en
fait, il est facile de la manquer tout à fait une fois
brillé par la lueur de nighttime des lumières émanant de ce " hippopotamus affreux dans une baignoire ", en
tant qu'un critique perceptive mis lui. Le bâtiment
pourrait avoir été pardonnable comme nouveau bâtiment terminal pour l'aéroport chez Roissy, mais ici, dans
la place la plus symbolique du capital, c'est un
outrage. Intérieurement, naturellement, les acoustiques et la vision d'étape de sa salle 2700−seat sont unrivaled
−− pour obtenir un siège que vous devez
réserver des mois à l'avance.
Plus que remplissant site d'ancien Gare de Vincennes, la construction de l'opéra n'ont également détruit
aucune quantité moyenne de logement de bas−loyer,
et −− en conséquence −− plus de la Bastille est maintenant trendier que Les Halles quartier. Le bâtiment
lambrissé parmétal était un produit d' une
concurrence internationale de conception, gagné par Carlos Ott, un jeune Canadien né en Uruguay.
Malheureusement, les caractéristiques données aux
concurrents ont exigé une telle masse fine, que le résultat encombrant ne pourrait pas probablement frapper
une note harmonieuse avec le contexte
architectural de ses voisins.
Touted initialement comme rendez−vous qui offrirait la monde−classe−qualité " opéra pour les masses " à un
prix raisonnable, l'Opéra a été infesté par
infighting musico−politique depuis son commencement. Les conducteurs sont venus et à gauche. Là ont été
des problèmes techniques manoeuvrant les
positionnements d'eleborate. Les ventilateurs d'opéra n'ont pas pu obtenir utilisés aux " surtitles " sur un écran
au−dessus de l'étape. Directeur Pierre Bergé a
évincé le directeur musical d'étoile, Daniel Barenboim, et l'a remplacé par un directeur coréen relativement
inconnu, qui est chargé de la vie jusqu' aux idéaux
élevés et quelque peu contradictoires d'Opéra. Mais maintenant l'opéra national a arrangé dans sa nouvelle
maison, et −− sous le baton du chef d'orchestre
1
James Conlon −− les productions sont populaires et en critique acclamées. L'espace multifonctionnel de
l'exécution du site accueille également de divers programmes de concert et de danse.
Paris, France
Opéra Bastille
Carlos Ott
1985−89
Architecture :
Histoire :
C'est le projet du canad a été choisi parmi 757
autres, le 10 novembre 1984. En effet, il répondait
au besoin de fonctionnalité exigé : l'Opéra Bastille,
pour être rentable, devait pouvoir donner 260
spectacles et recevoir entre 700 et 800 000
spectateurs chaque année. Comme nous l'avons
montré auparavant, la construction de l'édifice va
en fait durer cinq ans (1985−1989) et va être
totalement épique. Il a ainsi fallu déplacer la
brasserie la Tour d'Argent pour un coût de 90
millions de francs, un cinéma et détruire un pâté de
maison datant du XVI° siècle.
L'idée remonte à 1977, date à laquelle François
Bloch−Lainé, haut fonctionnaire alors sans
affectation et ancien président du Crédit Lyonnais,
commet un rapport sur la construction d'un nouvel
Opéra dans la capitale. A l'époque, il chiffrait le
prix de l'ouvrage à 300 millions de francs (il en
coûtera finalement près de 2,8 milliards et près de
580 millions de francs de budget annuel de
fonctionnement), sans que cela coûte un centime
au contribuable français.
Mais, les critiques vont en fait essentiellement
porter sur le bâtiment et l'architecte lui−même. En
effet, cet uruguayo−canadien, inconnu à l'époque
du cocnours, va très vite refuser de se faire
encadrer par un grand nom de l'architecture et
interdira que l'on revienne sur ses choix de
couleurs et de matériaux. Aujourd'hui, l'oeuvre de
Ott est décriée et on compare souvent l'intérieur de
Bastille à une clinique ou un paquebot. De fait, la
moindre modification devenait épique et c'est ainsi
François Mitterrand qui a du arbitrer pour le choix
de la couleur des fauteuils : plutôt noire que rouge
sang.
Enfin, outre l'architecture du bâtiment, l'autre
élément important est ce qu'on appelle le "son
Bastille" : les 2700 places.
En 1981, avec l'arrivée de la gauche au pouvoir, la
culture commence à se démocratiser et l'écrivain
Pierre−Jean Rémy, à la ville Jean−Pierre
Angrémy, en profite pour susurrer l'idée à Jack
Lang, nouveau et très médiatique Ministre de la
Culture, de faire de l'art lyrique, le divertissement
des élites par excellence, une discipline accessible
à tous. Ce dernier, apparemment séduit par l'offre,
confie tout naturellement le projet à François
Bloch−Lainé. Le président Mitterrand est
également séduit mais veut avant tout "un opéra
moderne et populaire" destiné à remplacer un
opéra Garnier victime d'un âge avancé et d'un
certain élitisme. L'Epob, l'Etablissement Public
Opéra−Bastille, est créé un an plus tard et se voit
attribuer comme mission de fixer l'épure d'un
nouvel opéra. Celui−ci devait en outre être censé
tripler l'offre lyrique de la capitale et diminuer d'un
tiers la subvention de l'Etat.
La phase de travaux ne commence réellement
qu'au début de 1985 et se poursuivra pendant
quatre ans, jusqu'en juillet 1989. Cependant, il est
maintenant clairement établi que face aux
échéances électorales de 1986, les responsables du
chantier ont tout fait pour accélérer les travaux de
construction jusqu'au deuxième tour des
Législatives, afin que la droite ne mène à bien son
projet d'annuler la mise en oeuvre du projet pour
2
en faire un immeuble de bureaux. Ainsi, en 1986,
malgré l'arrêt des travaux pendant un mois, seules
les projets de salle modulable et d'ateliers ont été
supprimés, étant donné l'avancement pris dans les
travaux.
Après la période de cohabitation, la gauche revient
au pouvoir et Jack Lang nomme Pierre Bergé, le
patron d'Yves Saint Laurent, à la tête des Opéras
de Paris (Opéra Garnier + Opéra−Bastille), qui n'a
accepté le poste que pour faire plaisir à son ami
François Mitterrand. En fait, il ne savait pas trop
où il mettait les pieds et il le dira d'ailleurs
lui−même : « Le bâtiment avait été réalisé en dépit
du bon sens. Les défauts techniques abondaient
(...). Mais il fallait que j'ouvre ».
C'est chose faite avec l'inauguration du bâtiment,
le 13 juillet 1989. Pourtant, ce n'est que le 17 mars
1990 que se tiendra la première représentation, «
Les Troyens », d'Hector Berlioz. Quatorze jours
plus tard, la première grève éclate. Ce sera là l'un
des premiers signes visibles des lourdes erreurs qui
avaient déjà été commises et le seront encore par la
suite : l'affaire Barenboïm, l'affaire Myung−Whun
Chung, les grèves à répétition, les frais d'heures
supplémentaires et de personnels faramineux, les
problèmes de cahier des charges, les errements
budgétaires et artistiques, la critique de
l'architecture du bâtiment, etc. Toutefois, on peut
au moins mettre à l'actif de l'Opéra−Bastille le fait
qu'en 1992−93, il a accueilli 326.000 spectateurs
pour le lyrique alors que Garnier n'a jamais été
au−delà des 220.000.
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